Publié il y a 11 ans - Mise à jour le 15.06.2012 - stephanie-marin - 1 min  - vu 315 fois

AGRESSION À SAINT-DIONISY : La suppléante d'Étienne Mourrut croit au coup monté sans accuser ses adversaires politiques

Agressée mardi soir devant son domicile, Eline Enriquez-Bouzanquet ne croit pas en la culpabilité de ses adversaires politiques. Photo DR/

"Si je reste choquée psychologiquement et atteinte physiquement par cette agression, j'écarte toute hypothèse selon laquelle nos adversaires politiques sur la circonscription pourraient en être tenus responsables" a lancé Éline Enriquez-Bouzanquet à sa sortie du centre hospitalier Caremeau de Nîmes, hier, jeudi 14 juin.

La suppléante d’Étienne Mourrut candidat aux Législatives sur la 2ème circonscription du Gard a été agressée, mardi 13 juin, vers 23h30, devant la porte de son domicile à Saint-Dionisy. Interrogée par nos confrères de France Bleu Gard Lozère, Éline Enriquez-Bouzanquet a raconté son calvaire, des coups de poings reçus au visage ainsi que des coups de pieds alors qu'elle était au sol. Avant de prendre la fuite, l'individu aurait proféré des propos racistes et lancé des menaces à l'encontre du candidat UMP Étienne Mourrut. Un coup monté selon la conseillère municipale à Nîmes, "ça fait des mois que je rentre à la même heure de par la campagne" refusant toutefois d'accuser ses adversaires politiques.

Une enquête a été ouverte par les gendarmes de la brigade de recherches de Vauvert.

Stéphanie Marin

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