Publié il y a 11 ans - Mise à jour le 19.01.2013 - tony-duret - 2 min  - vu 344 fois

INAUGURATION : L’avenue Feuchères, « l’entrée royale de Nîmes »

Ce vendredi 18 janvier marque la fin d’une époque et le début d’une autre. Finies les années de travaux, les années de ralentissement, de bouchons et de nuisances sonores autour de l’avenue Feuchères. Hier soir, Jean-Paul Fournier, Sénateur-Maire de Nîmes, est venu inaugurer le projet qui avait germé dans la tête, trente ans plus tôt, de son prédécesseur Jean Bousquet. Hier soir, l’espace piéton - qui relie les Arènes à la gare - rêvé par le fondateur de Cacharel a été célébré pendant plusieurs heures.

Jean-Paul Fournier inaugure l'avenue Feuchères

C’est un axe central de la ville, l’avenue Feuchères, longue de 300 mètres et large de 60 mètres, qui a été mise à l’honneur au terme d’un beau spectacle de jeux de lumières où les nîmois ont vu défiler d’étranges personnages géants. Ces mêmes milliers de nîmois qui ont bravé le froid pour écouter attentivement le discours de Jean-Paul Fournier qui était entouré de son équipe municipale : « L’entrée royale de Nîmes, c’est l’avenue Feuchères et ses façades haussmanniennes. C’est la cerise sur le gâteau, le clap de fin du projet AEF (Arènes, Esplanade, Feuchères, NDLR). Ici, vous trouverez un espace moderne et apaisé, un passage de vie accessible à tous : handicapés, personnes âgées… Appréciez la magie du lieu la nuit. Nous espérons tous ensemble une ville moderne tournée vers l’avenir. Une ville qui donne envie d’y vivre ». Des applaudissements nourris ferment le discours de Fournier.

L'avenue Feuchères lors de son inauguration (Archives Objectif Gard)
L'avenue Feuchères lors de son inauguration (Archives Objectif Gard)

C’est ensuite autour d’un apéritif géant que les nîmois ont fêté dignement cette avenue en travaux depuis 2004. Des passants audacieux ont même comparé ce projet AEF, qui a coûté 36 millions d’euros, et en particulier cette avenue Feuchères à la Rambla, cette avenue emblématique de Barcelone. C’est alors qu’un coup de vent glacial a ramené les passants à la réalité.

Tony Duret

tony.duret@objectifgard.com

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