Publié il y a 11 ans - Mise à jour le 14.02.2013 - stephanie-marin - 1 min  - vu 153 fois

ALÈS Les comptes de la Fonderie Tamaris passés au peigne fin par le tribunal de commerce de Nîmes

Fonderie Tamaris industrie à Alès. Photo DR/

Les quelques 70 salariés de la Fonderie Tamaris Indutries implantée à Alès sont inquiets. Mardi 19 février, moins d'un an après la reprise de la société par le franco-américain Hugh Aiken (1er mai 2012 - Lire notre article en cliquant ici), le tribunal de commerce de Nîmes passera au peigne fin ses comptes. Suite logique dans le cadre d'une procédure de sauvegarde judiciaire.

Au terme de cette épluchage de chiffres, trois hypothèses sont possibles, Julien Vitrani, représentant CGT Fonderie Tamaris Industries en a fait la démonstration à nos confrères du Midi Libre, hier, lors d'une conférence de presse : "Premièrement la continuité de la procédure de sauvegarde avec un plan d’investissement conséquent de M. Aiken." Là, le meilleur des cas est envisagé. La suite est plus inquiétante car le tribunal de commerce pourrait aussi bien décidé d'annoncer la poursuite de la procédure de sauvegarde sans aucun investissement.. Encore faut-il que les caisses de la société soit assez remplie pour pouvoir tenir. La troisième hypothèse est largement plus morose voire dramatique : "[...] Notre actionnaire déclare la cessation de paiement, ce qui peut nous amener en redressement judiciaire ou dans le pire des cas en liquidation judiciaire."

S.Ma

Stéphanie Marin

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