Publié il y a 11 ans - Mise à jour le 21.03.2013 - stephanie-marin - 1 min  - vu 114 fois

GARD Malgré les critiques, Fabrice Verdier reste favorable à l'accord national interprofessionnel

Fabrice Verdier, député du Gard. Photo DR/S.Ma

Fabrice Verdier, député du Gard. Photo DR/S.Ma

Samedi dernier, soit le 16 mars 2013, Fabrice Verdier, député du Gard, a tenu une permanence à Pont-Saint-Esprit. Ce fut pour lui l’occasion d’échanges intéressants notamment avec la délégation de militants du Front de Gauche venus l’interpeller à propos de l’accord national interprofessionnel et du TER Rive droite.

Les militants du Front de Gauche ont affirmé leur opposition à l’accord de sécurisation pour l’emploi qu'ils qualifient dans une lettre ouverte adressée à tous les députés gardois de "casse du code du travail [...] Nous tenons à vous alerter sur l’impact destructeur qu’aurait la signature de cet accord sur le monde du travail. Cet accord va augmenter le chômage et la précarité. Il facilite les licenciements, affaiblit les CDI au profit des contrats précaires. Il organise le chantage à l’emploi avec les 'accords de maintien dans l’emploi'." Le message a bien été entendu par le député Fabrice Verdier qui a toutefois réaffirmé son engagement en faveur de cet accord qui "est le fruit d’une négociation entre les partenaires sociaux et estime qu’il permettra, une fois sa traduction législative actée, d’offrir de la souplesse aux entreprises tout en préservant et en améliorant les droits des salariés" a-t-il précisé par voie de communiqué de presse.

En ce qui concerne la réouverture du TER Rive-droite, le député a pris note des revendications formulées et s’est engagé à les relayer auprès de Réseau Ferré de France et de la Région Languedoc-Roussillon.

S.Ma

Stéphanie Marin

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