Publié il y a 10 ans - Mise à jour le 24.04.2013 - coralie-mollaret - 1 min  - vu 112 fois

MORALISATION DE LA VIE POLITIQUE Le gouvernement dévoile son projet. Les Gardois s'emparent du débat.

Le Parlement.

L'affaire Cahuzac aura provoqué bien des retombées… Mardi prochain, les jeunes UDI organisent un débat, au café Le Jean Jaurès à Nîmes, sur le thème : moralisation et modernisation de la vie politique. Politiquement "ouvert", plusieurs intervenants de différents partis se mettront autour de la table : Julien Devèze (UDI), Jérôme Puech (PS), Jean-Paul Boré ancien communiste et porte-parole de l'association Tous pour Nîmes, ainsi qu'un intervenant UMP et FN, qui ne sont toujours pas connus à ce jour.

L'objectif est de réfléchir au système politique français, à ses lacunes, ses points forts et ses limites. "L'idée a bien sûr germé après l'affaire Cahuzac", reconnait Julien Deveze. Plus que favorable à une VIème République, ce dernier ajoute : "il faut travailler sur les questions de modernisation, sur la représentation nationale, le statut de l'élu…".

Le projet de loi du gouvernement. 

Ce matin, le projet de loi sur la moralisation de la vie politique, annoncé le 10 avril par François Hollande, a été présenté en conseil des ministres. Parmi les principales mesures, détaillées sur le site les Echos.fr : la publication du patrimoine des parlementaires; l'interdiction de certaines professions "pour prévenir tout conflit d'intérêt"; la création d'un "Parquet fiscal" compétent sur les affaires de fraudes fiscales…

Certaines de ces mesures provoquent une levée de boucliers, notamment de la part des députés PS sur la question de la publication du patrimoine. A la tête de la fronde, le président de l'assemblée nationale, Claude Bartolone. Le changement, c'est vraiment pour maintenant ?!

C.M

coralie.mollaret@objectifgard.com

Coralie Mollaret

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