Publié il y a 10 ans - Mise à jour le 28.04.2013 - coralie-mollaret - 1 min  - vu 130 fois

SALON DE LA BD. Au fil du pinceau d'Ilaria... Les étapes du portrait.

Marine.

Un accent chaleureux et un sourire radieux. Voilà comment la dessinatrice italienne Ilaria Trondoli, est parvenue à réchauffer les coeurs des visiteurs du salon de la BD, dont le moral été affreusement refroidit par la grisaille. Depuis hier, l'association "le Gang", un petit collectif d'artistes libres et créatifs originaires de Cannes, s'atelle à la tâche pour redonner du baume au coeur des aficionados des bulles.

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Derrière sa table de travail, l'artiste enchaine les caricatures et autres portraits à l'aquarelle. Une technique très prisée mais très difficile à maîtriser. Soudain Marine, 10 ans, surgit devant elle. Elle désire qu'Ilaria la dessine en sorcière… Mais attention, un gentille sorcière.

Ilaria se met desuite au travail, son crayon greffé à la main et ses feuilles blanches sous le coude. Ce sont d'abord les premiers coups de crayon qui vont dessiner la forme du visage, le nez... Un visage rond, des petites joues à croquer et des yeux noisettes. Avec sa dextérité, Ilaria donne du relief et modèle le visage de "Marine la sorcière".

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Vient l'heure du remplissage. Avec des couvercles de pots de confitures, elle pioche sa peinture et la dilue dans l'eau.  Elle opte pour des couleurs violettes, le teint marron clair… Sans oublier la petite dédicasse en bas du portrait. Marine est comblée et court montrer son portrait à sa maman. Cout de l'opération : 10 euros.

C.M

coralie.mollaret@objectifgard.com

Coralie Mollaret

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