Publié il y a 10 ans - Mise à jour le 24.01.2014 - abdel-samari - 2 min  - vu 138 fois

NÎMES Projection-débat avec le réalisateur Alaa Ashkar autour du film « Route 60, un itinéraire au delà des frontières »

Ce vendredi 24 janvier 2014 à 19 h 30 au CSCS de Valdegour (4 place Avogadro) à Nîmes, ne manquez pas la projection-débat en présence du réalisateur Alaa Ashkar, du film  « ROUTE 60, un itinéraire au delà des frontières ».

Une soirée organisée par : l'Association France Palestine Solidarité Nîmes, le Comité BDS 30, l'Union Juive Française pour la Paix, les Femmes en Noir, la Ligue des Droit de L'Homme Uzès et Sainte Anastasie...

Citoyen israélien, Palestinien de Galilée, Alaa Ashkar, 34 ans, après avoir étudié à Sciences-Po et beaucoup voyagé dans le monde, se pose des questions sur son identité. Son éducation à l’école israélo-arabe, la politique de peur instillée par l’Etat d’Israël au sein de sa population, les pressions de la société israélienne, ont façonné sa vison des territoires occupés, lui ont appris à se défier des Palestiniens de Cisjordanie. Il décide d’aller voir par lui-même. Pour cela, il nous conduit sur la Route 60 qui traverse du nord au sud la Cisjordanie et nous fait partager ces rencontres. Aux Palestiniens d’Hébron, de Bethléem, de Naplouse, de Ramallah, de la vallée du Jourdain ou du camp de Balata, il pose la question de ce qu’est pour eux l’occupation, quels sont leurs rêves, leurs ambitions.

"Ce documentaire créatif représente le côté intime de mon expérience en Cisjordanie où j’ai vécu pendant deux ans. C’est en tant que Palestinien que j’y suis allé. J’ai pourtant grandi à 25 km de la frontière avec cette région et je n’y étais jamais allé auparavant. Bien plus qu’un mur, ce sont des barrières psychologiques qui ont été dressé et de la peur qui m’a été transmis en tant que citoyen d’Israël. Je m’adresse alors à vous, sensible ou pas à la question de la Palestine, à ceux qui luttent contre les barrières et leurs effets, aux intéressés par les questions identitaires et interculturelles. Je vous invite à soutenir mon projet, en participant avec la somme de votre choix à la production, afin de me permettre de mener à bien cette aventure humaine. Comptant, jusque là, sur mes économies, j’ai pu autofinancer le tournage de ce film, mais sans votre aide, ce projet ne pourrait atteindre un niveau suffisamment professionnel pour le présenter aux festivals et dans les salles de cinémas et surtout dans des soirées projections débat!" Alaa Ashkar

 Découvrez la bande-annonce :

Abdel Samari

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