MUSIQUE Agnes Obel envoûte Paloma
La grande salle de Paloma était pleine hier soir mais avait rarement été aussi calme, captivée, subjuguée.
La danoise Agnes Obel, sa contrebassiste et sa violoniste ont livré une prestation très propre, feutrée mais parfois puissante, comme sur certaines envolées, notamment à la fin du célèbre morceau The Curse.
Sensibles, délicates mais toujours intenses, ses compositions intimistes, parfois troublantes peuvent difficilement laisser indifférent. D’ailleurs le public français ne s’y est pas trompé,
puisque son deuxième opus, dont étaient tirées la majorité des chansons jouées hier soir, s’est directement classé deuxième meilleure vente dans le pays.
Très méticuleuse sur scène, la danoise place une écharpe sur certaines cordes pour étouffer le son de son piano sur quelques morceaux, et ne veut pas être déconcentrée par des téléphones portables la prenant en photo — les premiers rangs ont dû les ranger. De cette méticulosité découle un concert millimétré, où chaque chose est à sa place et où les morceaux visent juste.
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