GRAND JEU DE L’ETE Comme Jean-Paul Fournier, testez vous aussi le « malade mental » !
Chaque été, Objectif Gard vous propose un jeu atypique, une distraction que vous ne retrouverez nulle part ailleurs. L’an dernier, l’idée de notre jeu était inspirée par le sénateur-maire de Nîmes en personne, qui proposait une pause café à son 1 000eme fan sur Facebook. C’est Marchal qui raflait cette belle récompense (relire ici). Cette année encore, toujours grâce aux talents de Jean-Paul Fournier (lire ici), notre jeu de l’été s’est imposé de lui-même : amis lecteurs, jouez au « malade mental ». C’est complètement gratuit et ça soulage, alors profitez-en. Pour ceux qui auraient oublié les règles, Objectif Gard dresse la liste des cinq questions les plus posées.
FAQ (foire aux questions):
1) Je ne suis pas sénateur-maire de ma ville, ai-je le droit de participer ? Bien sûr ! Tout le monde peut jouer au « malade mental ». Très pratiqué par les enfants de 8 à 12 ans dans les cours de récréation, ce jeu populaire touche aussi bien les hommes que les femmes, de 7 à 77 ans.
2) La personne que je souhaite viser n’est pas recteur d’académie, ça marche quand même ? Evidemment ! C’est d’ailleurs ce qui fait la force de ce jeu. Le « malade mental » est universel et concerne aussi bien un chômeur qu’un journaliste qui se croit drôle et qui ne sait pas ce qui l’attend.
3) Dois-je retirer mes propos ? Si oui, à quel moment ? C’est toujours préférable de les retirer. Quant au moment, c’est une question d’instinct. Mais sachez que plus vous les retirerez rapidement, plus vite vous serez excusé. Une astuce : au moment du mea culpa, même si vous n’en pensez pas un mot, prenez une mine abattue, dépitée. L’effet est garanti !
4) Le « malade mental » peut-il se retourner contre moi ? Ca arrive. Mais certains petits malins, les plus expérimentés, ont trouvé une parade : ils lancent un « malade mental » en l’absence de la personne tout en sachant pertinemment que cela lui sera répété. Le résultat est le même mais le joueur s’évite toute réplique. (Cela nécessite toutefois quelques années de pratique).
5) Jusque-là, mon éducation m'interdisait de jouer au « malade mental ». Quand et où puis-je commencer ? On sent votre impatience mais, par pitié, ne le faites pas n’importe comment. Vous vous souviendrez toute votre vie de cette première fois. Par expérience, les premières fois sont précipitées, trop rapides. Le « malade mental » est dit trop vite, parfois bafouillé et l’effet tombe à l’eau. Suivez cette règle d’or : ne le dites que si vous sentez que la personne en face est la bonne. Ca sortira tout seul et au bon moment.
En vous souhaitant à tous un été de malade mental !!!
Tony Duret
tony.duret@objectifgard.com
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