Publié il y a 9 ans - Mise à jour le 14.01.2015 - emeline-andreani - 2 min  - vu 176 fois

CHIFFRE DU JOUR 7 000 visiteurs réunis à la 27ème édition du Salon Lycée Avenir

Salon Lycée Avenir 2015. (Photo Emeline Andreani/Objectif Gard)

Hier, la 27ème édition du Salon Lycée Avenir s'est tenue au Parc des Expositions de Nîmes. Plus de 7 000 visiteurs étaient au rendez-vous !

"Nous sommes très satisfaits de cette nouvelle édition. Environ 5 000 à 7 000 visiteurs étaient présents", se réjouit Bernard Holvoet, président de l'association Lycée Avenir. Un rendez-vous qui n'a, une nouvelle fois, pas été manqué par les 5 000 élèves venus à l'occasion de ce salon. Il faut dire que Bernard Holvoet avait pensé à tout, notamment à la mise en place de bus pour aller chercher et ramener les élèves directement à leur lycée.

Des nouveautés ont également été mises en place afin de répondre au mieux aux demandes des élèves et des parents :"Ca fait la deuxième année consécutive que nous fermons les portes du salon plus tard (19h, NDLR) afin de laisser le temps aux parents de venir après le travail", ajoute le président. Une initiative qui porte ses fruits étant donné que plus de 2 000 visiteurs sont venus s'ajouter aux lycéens.

Trouver sa voie

Le salon Lycée Avenir c'est donc un grand nombre d'élèves, de première et de terminale, venus de toutes les horizons. Mais certains élèves de seconde, curieux de leur orientation, ont également fait le déplacement comme Joséphine et Idalie :"Je ne sais pas encore quelle filière choisir en première, c'est pour ça que je suis venue ici. Je vais voir les différentes écoles pour qu'elles m'expliquent quelle filière est plus judicieuse pour mon futur métier", explique Joséphine. Mais pour ceux qui ne savent pas encore quelle carrière épouser, ce qui est le cas d'Idalie, un tour du salon a été nécessaire. Quant à ceux qui n'ont pas fait le déplacement, ils peuvent nourrir quelques regrets :"Le salon est la seule manifestation d'envergure cette année : la Nuit de l'orientation n'ayant pas lieu en 2015", conclut Bernard Holvoet.

Emeline Andreani

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