Publié il y a 8 ans - Mise à jour le 08.12.2015 - anthony-maurin - 2 min  - vu 149 fois

BEAUVOISIN Le confort made in Petite Camargue

Après le robot-phoque amuseur et guérisseur, la "résidence Petite Camargue" continue son travail.  Photo Tony Duret / Objectif Gard

L’accueil et la fin de vie des personnes âgées seront des aspects primordiaux de la politique sociale du 21ème siècle. Nos aïeux vivent plus longtemps et dans de meilleures conditions. Mais la population s’accroît et il va falloir réfléchir sérieusement à une solution qui apaise les maux qui sont en train de naître.

Non, les personnes âgées ne sont pas bannies de notre société et, oui, elles ont un rôle important de transmission, de mémoire et de savoir-faire à jouer mais pour cela, il faut les accepter et les mettre dans les meilleures conditions possibles.

Depuis sa création, la Communauté de communes de Petite Camargue mène une politique sociale volontaire afin d’améliorer les conditions de vie des personnes âgée.

Après avoir créé le CLIC (Centre Local d’Information et de Coordination) désormais géré par le Conseil général du Gard, la Communauté de communes de Petite Camargue a porté le projet de construction de la maison de retraite "Résidence Petite Camargue" sur la commune de Beauvoisin.

Après le robot-phoque amuseur et guérisseur présenté cet été, cet EHPAD (Etablissement d'Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes), apporte tout le confort d’un établissement médico-social spécialisé pour les personnes âgées. Les habitants de la Communauté de commune de Petite Camargue sont prioritaires afin de bénéficier d’un service de qualité accessible à tous avec un coût maîtrisé.

La résidence de Petite Camargue est un projet architectural d’une de forte identité, réalisé par le cabinet d’architecture narbonnais dirigé par Ivan Tognella. L’EHPAD s’articule autour de la forte identité du lieu en "sauvegardant l’identité des personnes, en maintenant le lien avec la vie, les éléments, les saisons et les sens. L’enjeu majeur était de construire un établissement thérapeutique dont l’architecture est une expression de vie pour les résidents comme pour les soignants".

Pas de quoi rougir quand on parle de capacité d’accueil. En effet, les 66 lits disponibles sont répartis en 57 lits d’hébergement permanent avec 12 réservés aux personnes désorientées, 3 lits d’hébergement temporaire et 6 places d’accueil de jour.

Le décor intérieur, sans être luxueux est de bon goût et offre un bon confort aux résidents. La restauration est réalisée par la cuisine centrale du CHU de Nîmes.

Anthony Maurin

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