Publié il y a 8 ans - Mise à jour le 29.01.2016 - baptiste-manzinali - 2 min  - vu 182 fois

NÎMES OLYMPIQUE / AUXERRE "L'envie de tout arracher"

Le Nîmes Olympique à l'entrainement ce mercredi. (Photo Baptiste Manzinali / Objectif Gard)

Invaincus en championnat en 2016, les Crocos sont remontés à bloc et s'apprêtent à rencontrer des auxerrois en échec lors des matchs à l'extérieur.

Ils ont 18 points, sont avant-derniers au classement général et n'ont qu'une seule idée en tête, sortir de cette zone rouge maudite.

Avec une victoire face à Auxerre, ils seraient quasiment certain d'y parvenir au vu des autres confrontations - notamment Créteil (17 ème, 21 points) qui reçoit Dijon (2 ème, 42 points). Les nîmois en sont capables et ont montré d'étonnantes facilités ces dernières semaines, les plus beaux buts des trois dernières journées parlent pour eux. Même lorsqu'ils étaient menés au score, "C'est l'état d'esprit du sud, l'état d'esprit nîmois, qui fait qu'on lâche rien" estime Steve Mounié, sept fois buteur depuis le début de saison. Mais c'est aussi un mental d'acier, "et l'envie de tout arracher quand on rentre sur le terrain" ajoute le milieu de terrain Téji Savanier qui compte six passes décisives à son actif.

Le Nîmes Olympique à l'entrainement ce mercredi. (Photo Baptiste Manzinali / Objectif Gard)

Le même mois de janvier qu'en 2015, mais avec la manière

 Tous les deux se sont imposés dans l'équipe type dessinée par Bernard Blaquart, et devront faire face à leurs homologues auxerrois dont Gaëtan Courtet, attaquant complet auteur de six buts et cinq passes décisives. Mais les déplacements de l'AJA sont souvent perdants, seulement trois victoires sur onze matchs joués à l'extérieur, alors que les nîmois sont en pleine confiance. Mais Téji Savanier garde la tête froide, "si on perd demain, on pourrait perdre aussi la confiance, il faut prendre le plus de points possible à la maison." Avec sept matchs nuls au compteur du Nîmes Olympique à domicile, les Crocos vont tenter de surfer sur cette vague victorieuse 2016, comme ils l'avaient fait il y a tout juste un an.

Baptiste Manzinali

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