En date du 24 mars 2016, le célèbre Washington Post publie le remarquable récit d’une journée de l’américaine Mary Winston Nicklin au coeur de la cité médiévale d’Aigues-Mortes. Elle y décrit une véritable enquête sur l’histoire médiévale de la ville : des « mystères de la Sainte-Chapelle », aux traditions et légendes qui entourent la vie de Saint-Louis, en passant par une subtile évocation de l’incroyable habilité politique de Louis IX et sa mère qui ont fait d’Aigues-Mortes bien plus qu’un port de croisades.

Au fil de sa déambulation, la journaliste nous rappelle que la saisissante atmosphère de la cité tient également aux paysages uniques qui l’enserrent. Elle décrit avec une grande pertinence le lien qui unie le patrimoine historique de la Camargue Gardoise avec ses paysages naturels grandioses, et le rôle des Hommes de Camargue dans la conduite de ce subtil duo. Elle évoque le label Grand Site de France : « In 2014, Aigues-Mortes (along with the Camargue Gardoise) was named a Grand Site de France, a label that recognizes and protects important landscapes. »

Les enjeux du territoire y sont parfaitement résumés : après avoir constaté l’incroyable richesse patrimoniale d’Aigues-Mortes et son écrin naturel, chacun s’enquiert de la préservation de ce fragile équilibre entre activités humaines, tourisme et nature. L’importance du label Grand Site de France en est une nouvelle fois confortée, et avec lui, l’engagement du territoire (le Conseil Départemental du Gard et l’ensemble des communes) derrière le Syndicat Mixte de la Camargue gardois, porteur de la démarche.

Son voyage se poursuit à la Maison du Grand Site de France. Emerveillée par sa « fabuleuse flore et faune », elle en recommande la visite : « A short walk outside of town, this museum-cum-nature-center offers a window into the Petit Camargue’s history and biodiversity. »

L’article est à lire en intégralité sur le site du Washington Post : ICI