AU PALAIS L’accusé : « Comme il y a mon ADN sur les lieux, je reconnais les faits »
Il entre dans le box avec sa veste de survêtement aux couleurs de l’équipe de football allemande du Borussia Dortmund, salue sa famille, glisse un sourire à l’un et un clin d’œil à l’autre. Sofiane, 22 ans, est plutôt décontracté. Bras croisés, il écoute la présidente retracer les faits qui lui valent une comparution immédiate. Dans la nuit du 24 au 25 novembre dernier, le jeune prévenu s’est introduit dans une entreprise d’informatique nîmoise, a découpé le grillage, arraché le volet roulant et cassé deux vitres. Un répartiteur aurait disparu. L’ADN de Sofiane a été retrouvé sur l’une des vitres cassées.
- Comme il y a mon ADN sur les lieux, je reconnais les faits. Par contre, je n’ai rien pris dans ces locaux.
Un argument qui pourrait se tenir si le manutentionnaire qui vit chez ses parents n’avait pas plusieurs condamnations pour vol à son casier judiciaire. Son avocate vient à sa rescousse :
- On ne sait ni l’un ni l’autre ce qu’est un répartiteur.
On apprendra qu’il s’agit d’un câble qui permet de renvoyer une image sur plusieurs écrans. L’image de Sofiane, elle, est encore un peu plus écornée avec une nouvelle condamnation de huit mois de prison.
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