Publié il y a 7 ans - Mise à jour le 14.01.2017 - elodie-boschet - 1 min  - vu 257 fois

LÉGISLATIVES 4e circo : Claude Cerpédès se positionne en "rassembleur"

Jacky Valy, conseiller départemental communiste, Claude Cerpédès, Patrick Malavieille, vice-président du Département et Lucile Pialat, adjointe au maire de Saint-Martin-de-Valgalgues. Photo Élodie Boschet/Objectif Gard

Claude Cerpédès, maire communiste de Saint-Martin-de-Valgalgues, met sa candidature "à disposition" du rassemblement de la gauche sur la quatrième circonscription pour les prochaines élections législatives.

Roger Roucaute, Adrienne Horvath, Gilbert Millet et Patrick Malavieille : ils ont tous été, à des époques différentes, députés communistes du Gard. En 2017, Claude Cerpédès rêve d'agrandir la liste. Le maire de Saint-Martin-de-Valgalgues, qui propose sa candidature à "toutes les forces de gauche", est convaincu que le parti communiste est en position d'être "le rassembleur" sur la quatrième circonscription.

"Après cinq ans de gouvernement Hollande/Valls catastrophiques, lance Claude Cerpédès, les Français ont le droit d'être en colère et particulièrement les électeurs de gauche qui avaient mis beaucoup d'espoir dans le changement tant promis de 2012". Un changement qui avait hissé le candidat socialiste Fabrice Verdier en position de favori sur la circonscription aujourd'hui convoitée par l'édile saint-martinois. "Fabrice Verdier a voté toutes les lois régressives sans lever le petit doigt. Il est temps de dire 'stop, ça suffit !'", soutient-il.

Son projet, qui s'inscrit dans la ligne du programme du parti communiste pour les élections présidentielles, s'articule autour de plusieurs axes : abrogation de la loi El-Khomri, passage aux 32h, retraite à 60 ans, plan de relance des services publics, suppression du 49-3, etc. Des ambitions pleinement partagées par les soutiens de Claude Cerpédès, comme le vice-président du Département Patrick Malavieille : "Claude peut apporter un souffle nouveau à cette circonscription et a toutes ses chances d'être élu. Vous savez, en 1997, on ne donnait pas cher de ma peau face à Roustan. Et pourtant, nous y sommes arrivés", se souvient-il. De quoi donner de l'espoir à Claude Cerpédès.

Elodie Boschet

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