Publié il y a 6 ans - Mise à jour le 18.07.2017 - veronique-palomar - 1 min  - vu 535 fois

FESTIVAL DE NÎMES Scorpions piqûres de rappel

Matthias Jabs, guitariste solo du group a pris des rides… Pas ses riffs  (Photo Dominique Leroy) - unknown

Il est 9h30 quand l’immense rideau de la tournée internationale Crazy world tour tombe sur la scène. Retentissent les premiers accords. Du son et du bon, un écran géant, des hélicoptères et un paysage urbain. Puis le groupe entre en scène. Pas vieux, non, bonifiés comme du bon vin. Le show est parfait, lumière, effets, et le son signé Scorpions intact …  Il est des retours qu'on ne regrette pas !

Le public répond instantanément. Klaus Meine, le lutin à la voix d’or, le guitariste Rudolf Schenker et le batteur  batteur Mikkey Dee sont au taquet. Énergie et voix comme à la première heure. Leur demi siècle de scène, ne pèse pas mais semble leur donner des ailes. Le show est rôdé, l'expérience est là. Pour le reste rien n'a vieilli. Et surtout pas le kiff monstrueux que le groupe semble prendre sur scène. Un plaisir à la hauteur de celui du public de 7 à 77 ans, l'émotion intacte pour les anciens… Et pour les autres une belle leçon de hard rock  donnée par des seniors survitaminés…

Le lutin mutin

La guitare et Scorpions… Et les clous sur le blouson ! Bleu, blanc rouge encore … (Photo Dominique Leroy)

Hard rockers de la première heure

Jacqueline et Jean-Claude de Marguerittes sont des fans depuis toujours. Surtout Jacqueline qui n'en perd pas une miette et s'éclate. Un seul regret "ne pas avoir amené mes petits-enfants…" (Photo Véronique Palomar)

Gut Scapers des Nîmois façon route 66

Des accents à faire la bande annonce de Sons of Anarchy, du plaisir du vrai en première partie et un grand bravo à ces rockers nîmois qui gagnent à être connus (Photo Dominique Leroy)

Véronique Palomar

&

Dominique Leroy

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