Publié il y a 6 ans - Mise à jour le 18.09.2017 - coralie-mollaret - 2 min  - vu 376 fois

FAIT DU JOUR Nîmes en Feria : ils ont droit à l'image !

Boulevard Victor Hugo, samedi soir , la foule a envahi la rue dès 22 heures (Photo : Philippe Gavillet de Peney/Objectif Gard)

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Pendant les deux premiers jours de la Feria, nous avons sillonné les rues, visités les bodegas et même fait un tour à deux vernissages, instantanés en images

Vendredi fin d'après midi, il fait encore jour, les rues se remplissent peu à peu mais la novillada n'est pas encore terminée, donc la fête n'est pas encore lancée. Montée en puissance tout en douceur, allez on va rendre visite à deux artistes qui exposent.

Yash pose et expose …(photo Véronique Palomar)

Visite maline encore possible aujourd'hui, le vernissage de Yash Godebski dans sa maison de famille, l'hôtel de Bernis, ouverte au public à l'occasion des journées du patrimoine. On fait coup double, on découvre où on redécouvre les toiles d'un artiste reconnu et on en profite pour passer la porte d'un très bel hôtel particulier de Nîmes.

Gilles Chapel sera encore visible quelques jours après la Feria à la galerie Plume et curiosité(Photo Véronique Palomar)

À deux pas des arènes, facile quand on est en Feria, un petit tour à la Galerie Plume et Curiosités pour découvrir les œuvres d'un peintre et céramiste qui valent le détour. Des matières nobles, une patte et de la classe. Une vrai trouvaille. La nuit n'est toujours pas tombée, les rues se remplissent, tout est plus que prêt pour accueillir les fêtards.

Rue Fresque, la rue de la soif… En mode feria (Photo Véronique Palomar)

Pas de feria sans paella (Photo Véronique Palomar)

Sortie des arènes et passage obligé

La course est finie, les aficionados quittent les arènes. Premier passage obligé : la Bourse.

On y est, la Petite bourse en mode feria, pour bien commencer la soirée (Photo Véronique Palomar)

L'ambiance est là et le décor planté, il est plus de 20h, un fêtard heureux étant un fêtard prévoyant, nous voici en quête d'un lieu où l'on peut manger, bien si possible, tout en restant dans l'ambiance. Les connaisseurs ont une adresse à découvrir absolument : la bodega de Pepe de Montijo, un lieu magique qui nous plonge dans l'ambiance des ferias d'antan et nous sert des gourmandises typiques, confectionnées par la famille de l'ancien torero. Un moment magique. On y rencontre, l'aumônier des arènes, l'aficion pure et dure et même…Françoise Dumas. On y danse la Sevillana ! Bref, c'est la feria !

Au bout de la rue Bigot, un endroit que même certains nîmois ne connaissent pas (Photo Véronique Palomar)

Le maître des lieux, Pepe de Montijo, entré dans l'arène en 1950, sourire aux lèvres et bon pied bon œil malgré de nombreuses blessures de cornes dont une grave, infligée par un toro dans une corrida à …Maison-Laffitte (Yvelines) ! (Photo Véronique Palomar)

Un voyage, spatio-temporel dans le monde de la tauromachie…en longeant les murs (Photo Véronique Palomar)

Découverte d'une pépite, une affiche signée…Picasso (Photo Véronique Palomar)

Ici on danse la Sevillane à tout âge (Photo Véronique Palomar)

Au cœur de la nuit, la fête branchée

Il est temps de quitter cette ambiance pour une autre. Direction La Cour des Grands juste à côté de l'Imperator. Jérôme Puech aux platines et une ambiance digne des Bains Douches. Le lieu est magique, la foule dense, le champagne servi dans de vraies coupes. C'est la fête à l'état pur. On pourrait être à Paris ou à Ibiza. Ouahou !

C'est la fête, un monde fou mais on bouge quand même et l'ambiance est vraiment bonne. Pari gagné (Photo Véronique Palomar)

Retour par la place D'Assas

Place d'Assas, on y danse, on y danse… (Photo Véronique Palomar)

Samedi, 21 heures. Je suis Portugais et je m'appelle Soante. Je pèse 500 kilos et je mesure 1m55. Dans quelques minutes je vais rentrer par la grande porte à l'Impérator pour offrir au public mes plus belles cabrioles renversées. Ça a beau être un public très...à cheval sur les conventions, il va voir ce qu'il va voir ! En attendant je patiente en chaussettes blanches sur le trottoir. C'est tout moi, ça ! (Photo : Philippe Gavillet de Peney/Objectif Gard)

Boulevard Victor-Hugo, samedi soir... Il n'y a pas d'âge pour danser sur les épaules de papa ! (Photo : Philippe Gavillet de Peney/Objectif)

Le chanteur de RnB Matt Houston a chauffé le public de l'Esplanade samedi soir (Photo : Philippe Gavillet de Peney/Objectif Gard)

Contraintes sécuritaires oblige, il fallait montrer patte blanche avant d'entrer aux arènes samedi après-midi (Photo : Philippe Gavillet de Peney/Objectif Gard)

Une demi heure avant la corrida de 17h30 du samedi, la foule avait déjà envahi l'esplanade des arènes (Photo : Philippe Gavillet de Peney/Objectif Gard)

Devant la Maison carrée, associés d'un soir, les Chicuelo et les Armagnacs ont offert un concert aux badauds (Photo : Philippe Gavillet de Peney/Objectif Gard)

Samedi, peu avant midi, on faisait la queue devant la billetterie de la corrida (Photo : Philippe Gavillet de Peney/Objectif Gard)

Reportage photographique : Véronique PALOMAR et Philippe GAVILLET de PENEY

Coralie Mollaret

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