Publié il y a 5 ans - Mise à jour le 09.07.2018 - corentin-corger - 2 min  - vu 291 fois

NÎMES Longue vie aux véhicules de la Banque alimentaire

Baptême symbolique des cinq derniers véhicules qui ont rejoint la flotte en présence des différents donateurs.

Jean-Luc Benoît, le président de la Banque Alimentaire du Gard, entouré des donateurs et notamment la députée Françoise Dumas (photo Corentin Corger)

La Banque alimentaire du Gard a souhaité, ce jeudi midi, inviter ses donateurs en son siège au Marché gare pour les remercier d'avoir participé à l'achat de cinq véhicules et baptiser ses nouveaux bébés. 

L'action de la Banque alimentaire consiste à venir en aide aux plus démunis avec le slogan "ensemble aidons l'homme à se restaurer" et de lutter également contre le gaspillage. Pour remplir ces missions, les bénévoles sillonnent les routes du département et travaillent avec près de 73 points de relais. Forcément de tels trajets nécessitent des véhicules en bon état de marche et réfrigérés. Une option qui a un coût.

Mais l'association peut compter sur différents donateurs. Ils étaient cinq mis à l'honneur pour avoir participé financièrement : la Compagnie nationale du Rhône, GRDF Languedoc-Roussillon, Les Grands garages du Gard, la Fondation carrefour solidarité et Françoise Dumas, par le biais de l'ancienne réserve parlementaire, à hauteur de 10 000 euros. Le CNR est le plus généreux avec 15 000 euros versés chaque année et un partenariat établi sur trois ans.

Ce camion frigorifique est le dernier bébé de la famille, arrivé il y a trois mois (photo Corentin Corger)

Des soutiens que le président veut saluer, "on a coutume de célébrer en famille les baptêmes. Aujourd'hui la famille de la Banque alimentaire se retrouve pour baptiser cinq beaux bébés", compare habilement Jean-Luc Benoît. Les nouveaux-nés se nomment, entre autres, Peugeot Boxer ou Renault Kangoo. "Grâce à ces dons, notre flotte est en bon état. Elle a été renouvelée au trois-quart depuis trois ans", conclut-il avec le sourire.

L'essentiel est que les bénévoles disposent du matériel adéquat pour mener correctement leurs actions. Mais attention quand on ouvre la porte, dans les petites ruelles du centre-ville de Nîmes, il ne faudrait pas déjà abîmer les nouveaux bébés.

Corentin Corger

Corentin Corger

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