Publié il y a 5 ans - Mise à jour le 23.10.2018 - norman-jardin - 2 min  - vu 335 fois

NÎMES Les XXIe Rencontres généalogiques du Gard pour reconstituer l’histoire d’une famille

Le rendez-vous annuel des généalogistes gardois s’est déroulé au stade des Costières samedi et dimanche dernier.

De nombreuses associations étaient présentes ce week-end (photo Norman Jardin / Objectif Gard)

Il y avait 32 stands pour accueillir le public. En majorité des associations régionales de généalogie, venues de toute la France.

Pour le Gard, les secteurs de la Vaunage, l’Uzège et des Cévennes étaient représentés. Au niveau national, les départements, de la Lozère, du Cantal, de la Corrèze et de l’Ardèche étaient notamment présents. Puis, pour l’international, il y avait une association spécialisée dans les recherches sur les pays méditerranéens. Le concepteur d’un logiciel permettant de lire plus facilement les registres en langue anciennes et des professionnels étaient aussi à l’écoute des visiteurs.

Certains sites peuvent remonter jusqu’au XIVe siècle (photo Norman Jardin / Objectif Gard)

Tous ces spécialistes aidaient à mieux comprendre les fonctionnements de la discipline, que cela soit sur internet, à travers des logiciels ou de façon plus traditionnelle. Car depuis quelques années, une grande partie des départements français ont mis en ligne les registres d’État civil. De plus, il y a l’arrivée de sites internet commerciaux. À ce sujet, Bernard Février (animateur au centre généalogique du Languedoc) émet quelques réserves : « sur ces sitesIl n’y a pas de contact direct, donc pas de conseil personnalisé comme cela peut l’être avec des associations et des adhérents qui ont une grande expérience » .

Le cercle généalogique Gard Lozère tenait un stand (photo Norman Jardin / Objectif Gard)

Le week-end était aussi marqué par deux conférences. Celle du samedi était consacrée à la généalogie médicale et celle du dimanche avait pour thème "Retrouver le parcours d’un poilu pendant le conflit de 14-18. « Le centenaire de la grande guerre a suscité des vocations dans le monde de la généalogie », souligne Bernard Février.

Les organisateurs espéraient entre 500 et 1 000 visiteurs sur le week-end. Sachant que l’entrée était libre, il est bien difficile des faire des comptes à ce sujet.

Norman Jardin

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