Publié il y a 10 ans - Mise à jour le 24.07.2013  - 2 min  - vu 311 fois

FESTIVALS Le reggae prend le pouvoir à Bagnols sur Cèze

Bagnols, le village de tentes des festivaliers  s'installe au cœur de la ville Ph. DR/RM

La culture rastafari et son égérie Bob Marley ont pris le pouvoir à Bagnols sur Cèze où commence ce mercredi soir la programmation du Garance reggae festival devenu au fil des années l'un des plus importants festivals de musique reggae en Europe, si ce n'est en nombre de visiteurs mais en terme de programmation.

Les marseillais de Chinese Man ce mercredi soir pour leur unique apparition en France. Ph DR

Côté affluence, le festival installé sur les bords de la Cèze reçoit jusqu'à 15.000 visiteurs par soirée et l'an dernier le nombre total des festivaliers a frisé les 50.000, un chiffre qui pourrait bien être atteint cette année. Avec ses dates estivales et sa situation aux portes de la Provence, la programmation est l'atout majeur de ce festival, certains artistes lui réservant leur unique apparition en France. Tous les grands noms, ou presque feront une apparition sur scène au long de ces quatre jours et il serait plus simple de ne noter que les absents. La  première soirée de ce mercredi aborde le sound systems avec entre autres Chinese Man les trois marseillais dont c'est la seule date en France cette année, une rencontre au sommet entre King Earthquake et Iraton Steppas. Autre rencontre attendue de mercredi, celle des français de Soul Stereo et des Jamaïcains de Kilimanjaro.

En flot continu les festivaliers viennent retirer leurs pass. Ph DR/RM

En attendant les festivaliers convergent en un flot ininterrompu vers les bords dela Cèze où est installé le Kingston village. Après avoir fait la queue pour obtenir leur sésame, le pass qui donne l'accès au concerts (ticket 1 jour : 35€ - Pass 4 jours : 99€ Aire d’accueil inclue avec le Pass 4 Jours) et aux différents espaces du festival, la plupart prennent la direction des campings où près de 6000 emplacements sont prévus. Depuis deux jours toutes les places à l'ombre ont été prises d'assaut et on s'organise contre la chaleur. Un peu partout en ville, le vert, le jaune et le noir, les couleur de la Jamaïque, envahissent la ville et le look particulier des dreadlocks (coiffure rasta) s'impose au coin des rues.

Le premier jour, le festivalier se reconnait à son look ou a la tente qu'il transporte avec lui. Photo DR/RM

Raphaël MOTTE

raphael.motte@objectifgard.com

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