Publié il y a 11 ans - Mise à jour le 19.04.2013 - abdel-samari - 1 min  - vu 61 fois

SAINT-GILLES L'association 1+1+1 organise sa 3ème conférence-débat "Chômage, insécurité, les immigrés sont-ils coupables ?", ce samedi 20 avril 2013

L'association 1+1+1 vous invite à sa troisième conférence débat : "Chômage, insécurité, les immigrés sont-ils coupables ?", ce samedi 20 avril, à 15h, salle de l'école Victor Hugo à Saint-Gilles.

L’association 1+1+1 poursuit son travail de questionnement. Après les incivilités en décembre dernier, l’intégration des étrangers dans la société française et notamment dans le sud en janvier, 1+1+1 s’interroge sur la responsabilité des immigrés dans deux des problématiques majeures qui préoccupent aujourd’hui les Français, et évidemment les Gardois : le chômage et l’insécurité.

« Depuis ses débuts, 1+1+1 n’a souhaité éviter aucune problématique, aucun questionnement », rappelle Katy Guyot, présidente de l’association 1+1+1. « Aujourd’hui, nos concitoyens sont préoccupés par les questions d’emploi et de chômage, mais aussi par une certaine forme d’insécurité, poursuit la présidente de 1+1+1. Certains montrent du doigt les immigrés et les désignent comme coupables. Sans a priori, nous avons voulu savoir si c’était vraiment le cas ou s’il s’agissait d’un fantasme. C’est cette question que nous allons poser à nos invités. »

Pour cette nouvelle conférence débat, la troisième organisée par 1+1+1, deux invités : Robert Folcher : ex directeur de la sécurité publique des Pyrénées-Orientales, cet ancien commissaire de Police a également été conseiller technique au Ministère de l’Intérieur, où il a suivi la mise en place de la police de proximité, Michel Roquefort : responsable de l’animation d’ATD Quart Monde de Montpellier.

Les conférences débats de 1+1+1 sont accessibles à tous, « quelles que soient leurs appartenances politique, religieuse, philosophique, ethnique, culturelle », comme le précisent les statuts de l’association. Et justement, pour permettre à chacun de venir débattre et de se faire une opinion, l’entrée est libre.

Abdel Samari

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