Elisabeth, 61 ans : "Je viens entre deux et trois fois par an. Je considère que c'est important pour ceux qui en ont besoin. J'ai eu une petite appréhension la 1ère fois mais je suis habituée aujourd'hui. J'ai commencé à donner à Montpellier, lorsque j'étais étudiante. J'ai juste arrêté de me rendre aux collectes quand j'attendais mes enfants".

Rémi, 26 ans : "Je suis à la recherche d'un emploi donc j'ai le temps de venir. Ça me coûte rien et c'est normal, depuis que je peux donner, je donne plusieurs fois par an. C'est vrai que j'aime pas trop la piqûre, mais je regarde pas et ça passe!"

Françoise, 57 ans, accompagnée de son mari Paul, 58 ans : "Nous venons en couple depuis cet été. Ma fille aînée a eu de nombreux soucis de santé et j'ai vu beaucoup de choses dans les hôpitaux, alors si ça peut servir à quelque chose, je le fais. J'ai même réussi à trainer mon mari qui ne connaissait pas et qui y a finalement pris goût. Il m'accompagne chaque fois depuis l'été dernier".

Aurore, 32 ans : "Quand je ne suis pas malade, je viens. D'autant que je suis donneur universel. Avant, j'allais au Vigan et c'est la première fois que je me rends à la collecte d'Alès depuis mon déménagement. J'ai déjà donné 6 ou 7 fois. J'ai le temps car je suis sans profession".

Laura, 25 ans : "J'ai toujours vu ma mère venir au don du sang et j'ai suivi dès que j'ai atteint la majorité. C'est agréable de se sentir utile. Je suis également bénévole à la Croix-Rouge et je mesure à quel point c'est important. J'ai un contrat à mi-temps, donc c'est plus facile de me libérer".

Mélanie, 28 ans : "Ca me coûte pas grand chose et ça peut apporter quelque chose alors je viens à peu près une fois par an depuis 10 ans, quand ça coïncide avec mes horaires de travail. Je suis professeur des écoles remplaçante et je me déplace souvent aux alentours. Je suis originaire de l'Aveyron et j'y ai aussi donné cet été sur la plage. Il y a peu de contre-indications pour donner. Il suffit d'être en bonne santé et de ne pas avoir été malade dans la semaine".