Publié il y a 9 ans - Mise à jour le 20.06.2014 - abdel-samari - 2 min  - vu 439 fois

GARD Héric Quettelart prend la présidence nationale du CNCE-GEIQ

Mercredi 11 juin 2014, le Conseil d’Administration du CNCE-GEIQ a élu Héric Quettelart à sa présidence. Il succède ainsi à Jacques Vinet, président depuis 2007, nommé président d’honneur.

Président de deux GEIQ implantés dans le Gard, l’un dans le BTP, l’autre dans le multisectoriel, Héric Quettelart est également le président du CRCE-GEIQ du Languedoc-Roussillon. Il est administrateur du CNCE-GEIQ depuis décembre 2010.

Agé de 49 ans, marié avec 3 enfants, Héric Quettelart est un véritable autodidacte. Après avoir exercé différentes fonctions dans la restauration, il s’oriente vers le métier d’animateur radio, puis, journaliste de presse. Il découvre le secteur du bâtiment en 1988. Il décide ensuite de créer en 1995, dans le Languedoc-Roussillon, sa société de ravalement de façades qui emploie aujourd’hui plus de 40 salariés.

Très investi dans le réseau GEIQ, et dans la défense des intérêts professionnels du BTP, il exerce plusieurs mandats au sein de la Fédération Française du Bâtiment du Gard et de la FFB du Languedoc-Roussillon. Il a également été président de l’Union Nationale des Entrepreneurs d’Enduits de Façade (UNEEF), dont il est aujourd’hui le président d’honneur. « Je veux rendre aux autres ce que j’ai reçu un jour », déclare Héric Quettelart lorsqu’on lui demande sa principale motivation de candidature à la présidence du CNCE-GEIQ.

Durant son mandat de 3 ans, il souhaite faire reconnaitre le rôle de premier plan des entrepreneurs pour faciliter l’insertion de tous ceux qui sont sans emploi, notamment en leur apprenant un métier par la formation en alternance, cette « voie de l’excellence » comme l’a valorisée le président de la République. Par ailleurs, Héric Quettelart a l’objectif de permettre à chaque personne intégrée au sein d’un GEIQ de gagner en autonomie personnelle et professionnelle, en lien avec le monde du travail, notamment par le biais du double tutorat, cette «plus-value des GEIQ ».

« Ce n’est pas marqué quelque part que la formation doit s’arrêter à 21 ans. Tout le monde a le droit à sa chance pour réussir et à n’importe quel moment de sa vie » affirme le nouveau président qui a le souci, avant tout, d’ancrer l’aspect humain des GEIQ au coeur de la future Fédération Française des Geiq, qu’il compte bien porter avec ambition dès sa constitution, à l’automne 2014.

Abdel Samari

Economie

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