Publié il y a 9 ans - Mise à jour le 03.10.2014 - baptiste-manzinali - 2 min  - vu 497 fois

NÎMES La Maison France 5 en tournage en ville

Tournage de l'émission, La Maison France 5 à Nîmes. (photo Baptiste Manzinali / Objectif Gard)

L'émission présentée par Stéphane Thébaut La Maison France 5 s'est invitée à Nîmes dans une maison typique du vieux nîmois. En tournage depuis le début de la semaine dans le Languedoc, l'animateur phare a pris le temps de répondre à nos questions en toute simplicité.

Parlez nous de cette maison, qu'a t-elle de particulier ?

Stéphane Thébaut Nous avons l'habitude de travailler avec la propriétaire Nathalie qui est architecte. On est typiquement dans ce que l'on appelle le mazet nîmois historique. Se sont des constructions qui permettaient aux gens du centre-ville de vivre dans un environnement plus naturel. La Garrigue, c'est un endroit magique qu'il faut préserver. A quelques kilomètres d'ici, sur la côte, on a un peu vendu son âme au diable, l'urbanisme y est anarchique. Il ne faut pas oublier les valeurs et les cultures d'une région quand on fait construire.

C'est le premier tournage que vous réalisez dans la région ?

Stéphane Thébaut C'est la quatrième émission orientée Languedoc je dirai. On a eu quelques difficultés ces derniers temps suite aux intempéries. On était aux alentours de Saint Gilles il y a quelques jours, dans le domaine de Sainte-Colombe de 120 hectares. Le travaille effectué par Jean-Claude Mirabelle y est colossal. Ces lieux sont des véritables leçons d'art de vivre, moi je ne suis qu'un intermédiaire au sein d'un réseau de professionnel si vous voulez.

A titre personnel, vous venez souvent dans le Gard ?

Stéphane Thébaut J'ai la chance d'habiter à Annecy, je ne suis pas domicilié à Paris. Donc je ne ressens pas ce besoin qu'ont les parisiens de se "ressourcer" en province puisque j'y suis toute l'année. En revanche je voyage beaucoup, et je connais plus le Vaucluse pour des raisons familiales. Mais là, je pense que c'est la meilleur période pour être dans le Gard, septembre-octobre.

Baptiste Manzinali

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