Publié il y a 9 ans - Mise à jour le 09.04.2015 - tony-duret - 2 min  - vu 184 fois

INSOLITE Le mystère est levé : la véritable histoire autour de la naissance d’Henry Douais

Henry Douais, président de la CCI Nîmes. Photo : Coralie Mollaret / Objectif Gard.

Depuis des années, des centaines de Gardois, des milliers même, s’interrogent sur le président de la CCI Nîmes Henry Douais. Où est-il né ? Pourquoi Henry s’écrit-il avec un « y » ? Autant de questions insoutenables auxquelles l’homme a répondu ce matin à l’occasion d’une rencontre avec les élus de Vergèze.

De retour dans la commune qui l’a vu naître, certainement en confiance parmi les siens, le président de la CCI a choisi de mettre un terme au suspense qui entourait sa naissance et qui avait fait naître les plus folles rumeurs dont l’une des plus cruelles, rappelons-le, qui laissait entendre qu’il aurait vu le jour à Mus, la commune voisine. Horrible !

Ce jeudi 9 avril 2015 - la date restera probablement dans l’Histoire - alors que personne ne s’y attend dans l’assemblée, Henry Douais prend la parole et se livre comme jamais : « Je suis né à Vergèze dans la cuisine de ma grand-mère en 1948 ». Un lourd silence se fait dans la salle. Chacun comprend que le mystère de la naissance de l’élu risque d’être dévoilé d’une seconde à l’autre. Et c’est le cas. Le président de la CCI Nîmes poursuit : « Vous savez, le 22 février 1948, il y avait 20 centimètres de neige à Vergèze. Si bien que le téléphone était coupé. Mon père, qui était à Meynes à ce moment-là, n’a appris ma naissance que quinze jours après ». L’émotion est palpable parmi les chanceux présents pour la confession de l’élu. « Du coup, c’est mon oncle qui s’est occupé de tout. C’est lui qui a choisi mon prénom : il devait en prendre un parmi les quatre de mon père. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé mais quand il est rentré à la maison, ma mère lui a demandé ‘Comment il s’appelle alors ?’. Il a répondu ‘Henri avec un i’. Et ce n’était pas l’un des prénoms de mon père ! ». Rires dans la salle. « Ma mère lui a dit de retourner à la mairie et de mettre un « y » à la fin. Il s’est exécuté ».

C’était la véritable histoire autour de la naissance d’Henry Douais. La semaine prochaine, un récit tout aussi palpitant : nous vous dévoilerons le mystère des chaussettes colorées de Jean-Paul Fournier (photo ci-dessous)

Tony Duret

Le mystère des chaussettes de Jean-Paul Fournier bientôt levé. Photo Tony Duret / Objectif Gard

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