Publié il y a 8 ans - Mise à jour le 30.08.2015 - abdel-samari - 3 min  - vu 196 fois

ÇA RESTE ENTRE NOUS Les indiscrétions de la semaine

Photo d'illustration : droits réservés.

Après la trêve estivale, la rubrique la plus corrosive d'Objectif Gard est de retour... Découvrez chaque dimanche à 12h, un cocktail d’indiscrétions politiques et économiques de la semaine.

Liste des Régionales : stop aux collaborateurs pour Jean-Paul Fournier ! Un temps pressentie pour occuper le haut de la liste gardoise, Pascale Mourrut - belle-fille de l'ancien maire du Grau-du-Roi - ne fera finalement pas partie du casting. En cause : sa fonction d'attachée parlementaire auprès de la nouvelle sénatrice Vivette Lopez. Avec leur tête de liste et chef de cabinet du maire d'Alès, Christophe Rivenq, ainsi que leur partenaire UDI et chef de cabinet de l'Agglo Julien Devèze, le sénateur-maire souhaite que la liste comporte désormais davantage d'élus de terrain…

La nouvelle vanne qui tourne au PS. Retenez-la, cette nouvelle expression pourrait entrer dans le langage courant. Pour dire de quelqu'un qu'il ose tout, qu'il n'a peur de rien, et qu'il va trop loin, le président du conseil départemental Denis Bouad a trouvé une formule : "Même Pissas ne l'aurait pas fait". Le "Pissas", une nouvelle unité de mesure de l'audace ?

Halte au rire sur le répondeur du centre des finances de Nîmes. Il n'est pas toujours évident d'enregistrer un message personnel sur son répondeur : entendre sa voix, enregistrer le bon message d'accueil... Mais surtout rester sérieux. Au centre des finances publiques de Nîmes, il semble que la personne qui a enregistré le message délivrant les horaires d'ouverture ait rencontré cette difficulté. Pour preuve : ce léger gloussement entendu à la fin du message ! La bonne humeur de cet interlocuteur anonyme est si communicative qu'elle donnerait presque envie de payer ses impôts dans la seconde. On a bien dit presque...

pire hôtel

Une nouvelle chaîne d'hôtel s'est installée à Nîmes cet été. Un nouvel hôtel, dont la façade donne sur le boulevard Gambetta, vient de s'implanter à Nîmes. Son nom ? Comme on peut le voir sur la photo, il est original : il s'agit du "pire hôtel" ! Le concept y est futuriste et incroyablement novateur : les vacanciers emportent avec eux leur matelas gonflable. Afin de faciliter le travail des femmes de chambre, il est demandé aux clients de quitter la chambre à 5h du matin au plus tard. Et cerise sur le gâteau, avec un peu de chance, vous pourriez partager votre chambre avec d'autres clients qui n'auraient pas pensé à en réserver une. Bref, c'est nouveau, c'est génial et le prix de la nuit est plus qu'honnête : comptez 125€ en moyenne. Sinon, pour les plus petits budgets, sur le même boulevard, vous pouvez aussi choisir l'Empire Hôtel qui, à la nuit tombée et avec le jeu des feuillages, voit disparaître les deux premières lettres de son nom : le E et le M. Ce qui donne le "pire hôtel". Et, paraît-il, on y dort bien.

Les notes qui font grincer des dents. Chez Objectif Gard, vous le savez, on aime bien raconter l'envers du décor. Ce qui ne se dit jamais. Les bulletins de notes renseignent beaucoup sur les hommes politiques qui ont été notés cette semaine. Jean Denat, qui n'était pas d'accord avec tout, a cependant été fair-play en partageant l'article sur son réseau social. Classe. Silence radio du côté d'Alexandre Pissas. Mais avec toutes les fonctions qu'il cumule, il n'a probablement pas trouvé le temps de nous lire… Pas de réaction non plus pour Laurent Burgoa. En même temps, s'il avait prononcé un mot, un comité d'expert du langage et des accents aurait dû se pencher dessus. Les choses se sont toutefois corsées avec Yoann Gillet. Dès 7h05, il fait donc partie de la France qui se lève tôt (concept de son ancien mentor), soit cinq minutes après la publication du papier, deux textos sont arrivés sur les portables de nos journalistes pour marquer sa colère et son indignation. Allez M. Gillet, un peu d'autodérision. Enfin, Christophe Rivenq, qui ne manque ni d'humour, ni de chemises brodées, n'a pas pu s'empêcher quelques remarques mais c'était de bonne guerre. À l'année prochaine !

Abdel Samari

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