Publié il y a 8 ans - Mise à jour le 12.10.2015 - anthony-maurin - 2 min  - vu 214 fois

IMMOBILIER Le salon nîmois face au marché

Le salon de l'Immobilier de Nîmes s'est achevé hier soir. (Photo Anthony Maurin : ObjectifGard)

Pas de Stéphane Plaza à l’affiche donc moins de visiteurs au rendez-vous. Tel est le constat que l’on peut faire à chaud même si aucun chiffre n’est encore disponible. Le Salon de l’Immobilier semble marquer le pas tout en attirant quand même les initiés et les intéressés, les badauds et autres promeneurs du dimanche ne se pressent plus aux portes du Parc des Expos.

Pourtant, certains stands valent le détour et permettent de réaliser des économies conséquentes sur de futurs projets immobiliers. C’est le cas de celui de la CAFPI. « Notre objectif est de se mettre au côté de nos partenaires. Plus nous sommes présents, meilleures seront notre image et notre notoriété, de ce point de vue, c’est une réussite. Nous entrons en contact avec des clients, nous les orientons, les guidons au mieux dans leurs projets et nous tentons de répondre à un maximum de questions et de besoins dans les moments cruciaux de leur vie » brosse Vincent Fesnault de la CAFPI Nîmes.

Avec ses 19 collaborateurs basés sur Nîmes mais aussi présente sur Alès et Arles, l’enseigne nationale connait bien les valeurs actuelles du marché de l’immobilier et de ce qui l’entoure comme les assurances par exemple.

« Le marché se porte bien et va de mieux en mieux. Jamais nous n’avons fait un chiffre d’affaires aussi important ! Dans le Gard il y a Nîmes et le reste… Je crois beaucoup au marché Alésien mais il y a du travail à accomplir, le Nord du département et les Cévennes sont des zones a contrario très calmes comme la région de Pont-Saint-Esprit ».

Présente depuis onze ans sur Nîmes et cinq sur Alès, la CAFPI voit l’évolution du marché à travers ses clients et sent un frémissement s’annoncer. Le retour à quelques années en arrière et de mise et les projets sont moins farfelus qu’il y a encore quelques mois.

« C’est le grand retour des primo-accédants et c’est une bonne chose. On sort d’une période de rachat de prêts et les lois sont favorables à ce retour. Les gens commencent à comprendre qu’il faut acheter de manière raisonnable. En général ils achètent plus petit et ont conscience qu’il faut faire évoluer leurs projets dans le temps. La confiance est de retour et ça aussi, c’est agréable » conclut le responsable CAFPI.

Anthony Maurin

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