Publié il y a 8 ans - Mise à jour le 22.01.2016 - tony-duret - 1 min  - vu 187 fois

IL Y A 4 ANS… TF1 s'intéressait à la vidéosurveillance à Nîmes

Au centre de supervision urbaine à Nîmes. Photo DR/S.Ma

C'était le dimanche 22 janvier 2012. Il y a quatre ans jour pour jour. L'émission Sept à Huit, diffusée sur TF1, proposait à 18h un reportage sur la vidéosurveillance à Nîmes.

A l'époque, le pitch de l’émission était le suivant : "Nîmes est l'une des villes les plus vidéo-surveillées de France. Derrière des écrans, 24h sur 24, 7 jours sur 7, des employés municipaux scrutent les images d'une centaine de caméras. En haute définition, elles permettent de zoomer sur des visages ou des détails, de lire parfaitement les plaques d'immatriculation. Lorsque les opérateurs vidéo repèrent une infraction ou suspectent un futur délit, ils alertent alors la police qui peut décider, ou non, d'intervenir. Flagrants délits, enquêtes, risques de suspicion généralisée : Sept à Huit enquête sur l'essor de la vidéosurveillance".

Aujourd'hui, le phénomène nîmois attire toujours autant les médias nationaux. On se souvient, en septembre dernier, que beaucoup d'entre eux se sont intéressés à un dispositif unique en France qui vise à sécuriser les médecins lors de visites à domicile dans des quartiers sensibles.

Aujourd'hui, enfin, Nîmes est la deuxième ville la plus surveillée de France, après Nice. Près de 270 caméras balaient les différents quartiers de la cité des Antonins.

Tony Duret

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