Publié il y a 8 ans - Mise à jour le 01.02.2016 - elodie-boschet - 2 min  - vu 116 fois

IL Y A 4 ANS... Nîmes rêvait déjà de l'Unesco

Les Arènes de Nîmes (Image d'archives / Objectif Gard)

Arènes de Nîmes.

En réalité, Nîmes convoite ce prestigieux label depuis les années 2000. Mais le parcours est long et complexe pour décrocher le graal.

"Le classement des monuments romains de Nîmes sur la liste prestigieuse du patrimoine mondial de l’Humanité est l’une de mes priorités d’élu", disait, il y a quatre ans, le sénateur-maire de la cité gardoise. Le 31 janvier 2012, Jean-Paul Fournier, accompagné de ses adjoints Mary Bourgade et Daniel-Jean Valade, rencontrait à Paris l'ambassadeur de France à l'Unesco, Daniel Rondeau. Un entretien au cours duquel le trio vantait tous les mérites de la ville romaine : la Tour Magne et ses jardins de la Fontaine, le Carré d'Art, les Arènes ou encore la Maison Carrée.

Mais le label ne s'obtient pas si facilement : les candidats doivent fournir un dossier solide et passer par de multiples étapes. En janvier 2015, la ville a présenté, avec succès, le périmètre de sa candidature Unesco au Comité National des Biens Français. Une nouvelle étape a alors été franchie sur le long chemin qui mène à la liste du Patrimoine Mondial de l’Humanité. Quelques mois plus tard, en juin, Nîmes a reçu la visite de Daniel Janicot, président de la commission nationale française pour l'Unesco.

Le combat se poursuit cette année : il y a quelques jours, la ville a présenté son plan de gestion devant le comité national des biens français. Un dossier qui reprend l'ensemble de la stratégie mise en œuvre pour la protection, la restauration et la mise en valeur du patrimoine. La cité espère pouvoir déposer son dossier de candidature auprès de l’État en septembre 2016. L'objectif de la ville serait d'être inscrite sur la liste du patrimoine à l'horizon 2017/2018.

Elodie Boschet

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