Publié il y a 6 ans - Mise à jour le 06.06.2017 - coralie-mollaret - 1 min  - vu 202 fois

NÎMES Bernié-Boissard interpelle Hulot sur la gare TGV

Catherine Bernié-Boissard, élue d'opposition au conseil municipal de Nîmes. (Photo : droits réservés)

Malgré l'avis « favorable » de l’enquête publique, Catherine Bernié-Boissard continue de s'opposer au projet de la gare TGV, qui sortir de terre dans deux ans. 

En politique, il y en a qui ne lâche rien. C'est le cas, à Nîmes, de Catherine Bernié-Boissard. Avec l'élection du nouveau président et la nomination du gouvernement Philippe, l'élue d'opposition nîmoise voit, semble-t-il, une ouverture. Une opportunité pour interpeller le ministre de la Transition écologique, Nicolas Hulot, au sujet de la gare TGV de Manduel-Redessan. À Nîmes et ses environs, le dossier irrite fortement communistes et écologistes. Dans une lettre envoyée le 6 juin, l'élue écrit que « ce projet ne paraît pas socialement, ni économiquement utile » et encore moins, « écologique. » Une thématique à laquelle Nicolas Hulot ne peut être insensible...

Seulement aujourd'hui, le projet et les participations financières sont actées. Il y a plusieurs mois, les trois commissaires-enquêteurs ont rencontré les habitants et autres acteurs du territoire, concernés par la construction de cette nouvelle gare. La future gare LGV de Manduel a reçu un « avis favorable » de l’enquête publique, en avril. Il est peu probable que le dossier nîmois suscite l'attention du ministre écologiste. Un ministre qui, entre l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes et la transition énergétique, a déjà de quoi négocier avec ses collègues ministres de droite...

Lire aussi : GARE DE MANDUEL Yvan Lachaud : « Un moment historique ! »

Coralie Mollaret

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