Publié il y a 4 ans - Mise à jour le 09.09.2019 - tony-duret - 2 min  - vu 3518 fois

ALÈS Quatre nouveaux magistrats au tribunal de grande instance

Audience solennelle de rentrée au tribunal d'Alès avec l'arrivée de quatre nouveaux magistrats. Photo Tony Duret / Objectif Gard

Ce lundi matin, la présidente du tribunal de grande instance d’Alès, Myriam Bendaoud, a présenté quatre nouveaux magistrats dont les arrivées viennent compenser cinq départs, renouvelant ainsi la moitié de la juridiction alésienne.

Après une brève introduction de Myriam Bendaoud devant de nombreux officiels - dont le maire d’Alès, Max Roustan, ou le sous-préfet, Jean Rampon - qui ont rempli les bancs de la salle civile du tribunal d’Alès, le procureur de la République, François Schneider, a pris la parole pour souhaiter la bienvenue aux quatre nouveaux arrivants. Il s’est attardé plus longuement sur les parcours de Nathalie Welte et de Cyrille Abbé qui deviennent respectivement vice-procureur et substitut du procureur.

La vice-procureur d'Alès, Nathalie Welte

La première est « la locale de l’étape », rappelle François Schneider. Après de brillantes études et un passage comme juge pour enfants à Châlons-en-Champagne (Marne), Nathalie Welte devient substitut du procureur à Alès, avant de rejoindre Nîmes en tant que juge d’instance et d’atterrir aujourd’hui comme vice-procureur à Alès. Elle remplace Sébastien Sider parti dans le Val-de-Marne.

Cyrille Abbé, substitut du procureur. Photo Tony Duret / Objectif Gard

Après l’obtention de ses diplômes, Cyrille Abbé a quant à lui multiplié les stages dans des cabinets d’avocats prestigieux à Paris et à l’étranger. Le nouveau substitut du procureur sera en charge des atteintes aux biens et réglera les contentieux autour des stupéfiants. Il remplace Mélodie Fabre qui a pris de nouvelles fonctions au tribunal de Béziers.

La juge Sandra Polet. Photo Tony Duret / Objectif Gard

La présidente du tribunal a repris la parole pour présenter les deux nouvelles juges, deux jeunes femmes qui ont intégré l’École nationale de la magistrature en 2017. La première, Sandra Polet, est nommée juge au tribunal civil. Elle s’occupera des contentieux d’ordre général et sera aussi juge-commissaire. « Une expérience très formatrice », assure Myriam Bendaoud.

Manon Fauriel, juge d’instruction. Photo Tony Duret / Objectif Gard

Enfin, la dernière, Manon Fauriel, est juge d’instruction, « un métier difficile et exigeant », conclut la présidente du tribunal de grande instance qui souhaite, encore une fois, tout le meilleur aux quatre nouveaux arrivants.

Tony Duret

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