Publié il y a 4 ans - Mise à jour le 20.01.2020 - thierry-allard - 2 min  - vu 206 fois

GARD RHODANIEN Grisbi démarre l’année pied au plancher

Lors d'une plénière de Grisbi, en novembre dernier à Vénéjan (Photo d'archives : Thierry Allard / Objectif Gard)

Le groupement d’entreprises du service, du bâtiment et de l’industrie du Gard rhodanien, Grisbi, ne compte pas ralentir la cadence en 2020.

Ainsi le groupement, qui compte 135 adhérents, ne manque pas d’actions pour les semaines à venir. La première sera le 27 février, avec une soirée consacrée à la prévoyance et aux retraites destinées aux adhérents Grisbi. « Un sujet dans l’air du temps », commente le président de l’association,  Vincent Champetier.

En février toujours, Grisbi va avancer sur un chantier lancé il y a quelques semaines. Celui visant à proposer des jobs d’été aux enfants d’adhérents et de salariés. « Nous avons réussi à trouver une trentaine de jobs. Nous avons prévu de faire un mini-forum interne, réservé à nos membres », poursuit le président.

Un magazine de communication

Le lancement d’un groupement d’intérêt économique (GIE) est aussi dans les tuyaux « pour pouvoir mutualiser certains postes et ainsi pérenniser voire créer des emplois », avance Vincent Champetier. Ce système pourrait permettre à des petites structures membres de l’association de mutualiser du personnel de ménage ou un commercial, par exemple. Le premier numéro du magazine de Grisbi, destiné à faire de la communication externe, doit aussi sortir dans les prochaines semaines.

Le temps fort du semestre sera pour le 23 avril, avec le salon Grisbi. « Ce sera le deuxième anniversaire de la charte acheter local, replace le président. Nous serons après les municipales, il y aura eu un renouvellement des maires, et nous inviterons ceux qui ne l’auront pas fait à signer la charte. »

Enfin, Grisbi compte bien avancer sur un autre dossier, plus polémique celui-là, celui du versement transport, mis en place au 1er janvier dernier pour financer les transports en commun de l’Agglo. « Nous trouvons que l’idée est bonne, mais il y a deux problèmes : le manque de concertation, et le fait que nous trouvons que les lignes ne sont pas opportunes, car deux zones économiques sont oubliées, la zone de Bernon, et celle de Saint-Laurent-des-Arbres », explique Vincent Champetier.

Les patrons du secteur étaient montés au créneau en décembre, et ont finalement obtenu une réunion la semaine dernière avec le président de l’Agglo, Jean-Christian Rey, et le transporteur. « Nous avons commencé à discuter et une réflexion va être engagée, affirme-t-il. Nous espérons une suite positive. Nous avons tous à y gagner. »

Thierry ALLARD

thierry.allard@objectifgard.com

Thierry Allard

Economie

Voir Plus

A la une

Voir Plus

En direct

Voir Plus

Studio