Publié il y a 3 ans - Mise à jour le 10.04.2020 - marie-meunier - 2 min  - vu 489 fois

CORONAVIRUS Anthony Cellier nommé référent du groupe de travail Énergie de la commission des affaires économiques

Le député LREM de la 3e circonscription du Gard, Anthony Cellier, a été nommé référent du groupe de travail dédié à l'énergie. (Photo d'archives : Thierry Allard / Objectif Gard)

Le député La République en marche de la 3e circonscription du Gard, Anthony Cellier, a été nommé référent du groupe de travail dédié à l'énergie. C'est l'un des 6 groupes de travail sectoriels transpartisans créés par la commission des affaires économiques en cette période de crise liée au coronavirus.

En tant que référent, Anthony Cellier devra assurer plusieurs missions : assurer la production et l’approvisionnement de tous en énergie en protégeant les agents sur le terrain, gérer les urgences sur les réseaux en temps de crise, organiser le report des factures énergétiques pour les TPE/PME, adapter le calendrier pour les chantiers en cours, échanger avec nos voisins européens et poursuivre les interconnexions...

Tous les opérateurs de l'énergie peuvent continuer à fournir de l'énergie grâce aux plans de continuité d'activité ou équivalents durant la crise. Une continuité de la production et de l'approvisionnement saluées par le député : "Cela démontre la solidité et la souveraineté de notre système énergétique", indique-t-il par communiqué.

Il y est d'ailleurs précisé qu'alors le Gouvernement a déjà pris deux ordonnances concernant l'énergie : une concernant le paiement des loyers, factures d'eau, gaz et électricité des locaux professionnels des entreprises, la seconde indiquant que la trêve hivernale est prolongée jusqu'au 31 mai.

Il est aussi écrit : "Cette crise a déjà et aura des conséquences sur le secteur de l’énergie : baisse importante du prix des matières premières énergétiques, impacts économiques forts pour les acteurs, réduction de la production nucléaire, adaptation constante du modèle de RTE à la consommation de crise, coup d’arrêt à la rénovation énergétique, remise en question de l’accès régulé à l’électricité nucléaire historique (ARENH), hausse des exportations de la France vers ses voisins européens permis par les interconnexions, adaptation des chantiers en cours et repoussés…" Anthony Cellier sera très vigilant sur les conséquences de ce dernier point, notamment pour la filière nucléaire locale.

Marie Meunier

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