Anastasia Sellier, Flo Sordes et Marie Bossard représenteront l'université de Nîmes lors de la finale régionale de « Ma thèse en 180 secondes », un concours de vulgarisation scientifique qui fête cette année sa septième édition.

Le 25 mai à 18h, les trois doctorantes inscrites à l’école doctorale ED583 cohabilitées par l’université de Nîmes, participeront à la finale régionale Méditerranée de « Ma thèse en 180 secondes ». En raison de la crise sanitaire, ce rendez-vous de déroulera exceptionnellement en ligne et il sera diffusé sur les réseaux sociaux Youtube et Facebook.

Les deux premiers de cette finale seront qualifiés pour les demi-finales nationale (sous réserve de son maintien). Les représentantes nîmoises seront Anastasia Sellier (25 ans, doctorante en chimie environnementale) en 2e année de thèse avec « Risque associé à l'occurrence et au devenir dans l'environnement des contaminants organiques émergents (résidus pharmaceutiques) des boues des stations d'épuration, destinées aux amendements et au compostage », sous la direction de Corinne Le Gal La Salle et Somar Khaska.

Flo Sordes (32 ans, doctorante en géochimie, 1^e année de sa thèse) avec « Du devenir des sédiments dragués riches en chlorure : une gestion innovante par phytoremédiation », sous la direction d’Isabelle Techer.

Le troisième étudiante nîmoise en lice est Marie Bossard (24 ans, doctorante en psychologie sociale, 2^e année de sa thèse) avec « Gestion des situations sanitaires exceptionnelles : la perception de la préparation des personnels hospitaliers », sous la direction de Gilles Dusserre et Karine Weiss.

« Ma thèse en 180 secondes » est porté au niveau national par la Conférence des présidents d’université (CPU), le CNRS, la CASDEN Banque Populaire et la MGEN.