LE DÉBAT DE 13H La ville d'Alès a-t-elle réellement un temps d’avance ?
Hier soir, sur le plateau de Bonsoir le Gard, les journalistes, sociétaires et invités ont comme d'habitude débattu d'un sujet d'actualité. Une petite séance de rattrapage pour ceux qui ont manqué l'émission, au menu : la ville d'Alès a-t-elle réellement un temps d’avance ?
Le slogan de Max Roustan pour les élections municipales de 2020 "Gardons un temps d'avance", prend-il tout son sens deux ans plus tard ? États généraux du coeur de ville pour changer l’image du centre-ville et booster la fréquentation, développement économique, tourisme, transport, équipements municipaux, mise en avant positive des agents de la Ville, les initiatives ne manquent pas pour donner un nouveau rayonnement à la 2e commune du Gard. Une ville à laquelle le maire et son premier adjoint, président d’Alès Agglomération, Christophe Rivenq, rêvent de donner l’image d’un lieu où il fait bon vivre. Mais le taux de chômage élevé et persistant, au-dessus de la moyenne nationale, et un taux de pauvreté inquiétant viennent contrarier leurs plans. Les solutions existent. Former mieux et davantage une jeunesse en difficulté qui prend la poudre d’escampette pour rejoindre les contrées nîmoises ou montpelliéraines. En réglant l’insécurité galopante et en favorisant des projets industriels majeurs. De sacrés défis pour les prochaines années. Alors, la ville d'Alès a-t-elle réellement un temps d’avance ?
Le débat en vidéo :