PONT-ST-ESPRIT CitéZen, pour une rentrée zen
Il est tout nouveau, tout beau : le guichet unique de la ville de Pont-Saint-Esprit a ouvert en juin dernier au centre Pépin.
« L’idée est de faciliter la relation entre la ville et les usagers », explique le conseiller municipal délégué au guichet unique Benjamin Desbrun.
« C’est une petite révolution »
De fait, CitéZen, c’est son nom, agit comme une porte d’entrée unique pour accéder aux services municipaux, où on peut notamment faire les cartes d’identité et passeports biométriques, ainsi que payer par carte bancaire. Le tout ouvert du lundi au vendredi de 9 heures à 18 heures (17 heures le vendredi), et de 8h30 à 12h30 le samedi. « C’est une petite révolution », estime la première adjointe Claire Lapeyronie.
Voilà qui va s’avérer sans doute utile, notamment en cette période de rentrée scolaire : on peut effectuer au guichet unique les inscriptions dans les écoles, les cantines ou encore les garderies. « Il faut prendre le réflexe pour toutes les questions, notamment sur les écoles, de venir au CitéZen », appuie l’adjointe à l’éducation Josiane Pauty. Pour se donner les moyens de ses ambitions, la ville met à disposition dix agents pour ce nouveau service, et a investi 200 000 euros tout de même. Pour l’heure, la municipalité est plutôt satisfaite des premiers retours de ses administrés. « Mais on va mesurer les indicateurs, on est sur une volonté d’amélioration continue du service », précise Benjamin Desbrun.
Et si on ne peut ou ne veut pas se déplacer, le guichet unique a un numéro unique, le 04 66 90 34 00, et de nombreux documents et informations sont également sur le site internet de la mairie. Un dispositif qui sera prochainement complété par un portail famille en ligne, « où on pourra faire ses démarches 24 heures sur 24 et payer en ligne », précise Benjamin Desbrun. La mise en ligne de ce portail est prévue pour le dernier trimestre 2017.
Et aussi :
Les élus ont tenu à souligner l’implication des services municipaux, tant pour le guichet unique que pour la préparation de la rentrée, notamment avec le retour à la semaine de quatre jours qui a dû être géré dans l’été.
Thierry ALLARD