À l'occasion d'un contrôle à la gare TGV de Nîmes-Pont du Gard, les militaires patrouillent sur les parkings adjacents afin de prévenir d'éventuels vols. Ils passent à cette occasion au fichier toutes les "cartes mobilité inclusion stationnement" des personnes stationnées sur les places dîtes "handicapée".
Il s'avère que l'une d'entre elles ressort volée au fichier. Contactée, la victime, demeurant en région parisienne, confirme que sa carte n'a toujours pas été retrouvée.
La personne se présentant par la suite à son véhicule explique tout d'abord qu'il s'agit de celle de sa mère avant d'avouer finalement qu'elle l'utilise de manière indue depuis deux ans, indiquant l'avoir "trouvé". Entendue sur les faits, elle a fait l'objet d'un avertissement pénal probatoire à l'issue de son audition.
Les gendarmes rappellent que l'usage de carte mobilité inclusion stationnement est encadré et que le stationnement sur ce type de place sans carte valide est punissable d'une amende de 135 €.