Publié il y a 7 ans - Mise à jour le 06.04.2017 - thierry-allard - 1 min  - vu 292 fois

LAUDUN-L’ARDOISE Philippe Pecout s’explique sur son soutien à Macron

Le maire PS de Laudun-l'Ardoise et conseiller départemental Philippe Pecout (Photo d'archives : Thierry Allard / Objectif Gard)

Le maire PS de Laudun-l’Ardoise et conseiller départemental du canton de Roquemaure Philippe Pecout, passé du soutien à Arnaud Montebourg lors de la primaire socialiste au parrainage pour Emmanuel Macron début mars s’explique dans un communiqué.

« Je suis clairement ce que l’on nomme un ‘social démocrate’, c’est à dire que je crois au rôle clef de l’Etat dans le développement de notre économie au service du progrès social », explique l’élu, dans une sorte de coking-out politique. Concernant son soutien passé à Arnaud Montebourg, Philippe Pecout l’explique par « (son) amitié et (son) soutien en l’action du député Patrice Prat. En effet, notre parlementaire (lui) semblait le plus à même à représenter le Gard rhodanien lors des élections législatives à venir. Dès lors (il a) souhaité tout mettre en œuvre pour sa candidature. »

Las, Patrice Prat a décidé de raccrocher. Philippe Pecout, qui affirme qu’il n’est « jamais resté indifférent » au mouvement En Marche a donc apporté son parrainage à Emmanuel Macron, et brigue aujourd’hui son investiture pour les législatives sur la troisième circonscription.

Séduit par « la simplification de vie des entrepreneurs et la réduction des charges au bénéfice de l’emploi » prônés par l’ancien ministre de l’Economie de François Hollande, l’élu local estime que « dans le Gard rhodanien, la force de notre industrie ne peut être que sensible à ces propositions innovantes. » Philippe Pecout défend également le programme scolaire et culturel du candidat, tout comme son programme d’investissements publics dans les territoires ou encore de sécurité.

Pour lui, Emmanuel Macron est « le plus cohérent et le plus crédible pour moderniser et défendre la Nation française et par là même notre bassin de vie pour les cinq années à venir. »

Thierry Allard

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