Publié il y a 7 ans - Mise à jour le 05.07.2017 - abdel-samari - 1 min  - vu 187 fois

RÉGION Ligne à Grande Vitesse "L’Occitanie ne peut plus attendre !" pour Christophe Rivenq

Christophe Rivenq. EL/OG

Jeudi 29 juin 2017, le tribunal administratif de Bordeaux annulait la déclaration d’utilité publique d’un tronçon de la future LGV Bordeaux-Toulouse. Cette décision suspend l’arrivée de la Ligne à Grande Vitesse dans notre région. Une décision qui tombe mal pour le groupe d’opposition Union des Élus de la Droite et du Centre au Conseil Régional Occitanie avec à sa tête Christophe Rivenq.

"Cette annonce est difficilement acceptable pour les habitants et les usagers du territoire. Mais c’est un deuxième coup de massue qui est tombé samedi. Emmanuel Macron, dans une déclaration faite lors de l’inauguration de ligne LGV Rennes-Paris, a précisé ne pas vouloir relancer de grands projets nouveaux – comprenez bien la LGV – mais vouloir se concentrer sur les transports du quotidien et renouveler les infrastructures" indique la Droite régionale.

"En une phrase, celui qui, encore candidat à l’élection présidentielle, s’était engagé pour débloquer le dossier de la Ligne à Grande Vitesse, a enterré tout espoir de voir un jour la LGV parcourir l’Occitanie. Le nouveau président n’a pas tenu ses engagements ! Encore une fois, le Sud de la France, loin de la capitale et de ses décisions centralisées, est le grand oublié. Quid de Toulouse, 4e ville de France, et de Montpellier ? Ce sont plus de 5 millions d’habitants qui sont tout simplement délaissés !" rajoute les intéressés.

Les conseillers régionaux de Droite et du Centre demandent à l’État et au nouveau Président de prendre leurs responsabilités. "L’Occitanie ne peut plus attendre !" conclut leur Président Christophe Rivenq.

Abdel Samari

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