Publié il y a 10 ans - Mise à jour le 30.03.2013 - tony-duret - 1 min  - vu 307 fois

NÎMES : L’institut de Cancérologie du Gard, la naissance d’un beau bébé

Le futur site de l'Institut de Cancérologie

15 900 m2, deux bâtiments, sept niveaux, deux hectares de terrain… Les chiffres ne manquent pas pour illustrer l’ampleur des travaux du nouvel Institut de Cancérologie du Gard, dont la première pierre a été posée hier après-midi sur le futur site. C’est plus pratique, paraît-il. Comme un clin d’œil, le soleil est sorti au moment de l’inauguration venant éclairer les visages de l’équipe dirigeante du CHU Carémeau, de leurs partenaires, de l’architecte Michel Beauvais et des élus comme Jean-Paul Fournier et Damien Alary. Truelles en main, les deux hommes, tels des maçons, ont posé la première pierre - sans se la jeter – de ce bâtiment qui devrait ouvrir en début d’année 2015 près de l’avenue Kennedy.

Ce futur établissement, qui sera construit grâce à une volonté, à un partenariat aussi inédit qu’intéressant entre le public et le privé, rassemblera plusieurs disciplines : la radiothérapie (avec 5 bunkers et 2 scanners), la médecine nucléaire, l’imagerie médicale et la reconstitution des cytotoxiques. Le fruit du regroupement du CHU de Nîmes, de la Polyclinique Kenval, de NemoScan et du Centre médical Oncogard. Au cœur de ce dispositif impressionnant, un centre de recherche divisé en quatre plateformes aura l’ambition de faire baisser les chiffres du cancer : 19 800 nouveaux cas en 2011 dans le Languedoc-Roussillon. Côté pratique, 163 places de parking sur deux niveaux et 20 places extérieures seront prévues pour accueillir le public. Le coût total de l’Institut de Cancérologie a été chiffré à 42 millions d’euros.

Tony Duret

tony.duret@objectifgard.com

Tony Duret

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