Dans un communiqué, où la présidente de la Maison des Insoumis Geneviève Sabathé souligne que ce mouvement est « soutenu par le Rassemblement national » et « sans véritable perspective politique », les Insoumis bagnolais estiment que « le mot d’ordre est trop restrictif. »

Pour autant, ne croyant pas à l’argument écologiste du gouvernement - « un grelot » -, les Insoumis bagnolais estiment que « cette colère légitime doit être le point de départ d’une action globale pour exiger la hausse générale du pouvoir d’achat. Les Insoumis sont révoltés d’entendre les députés LREM qui affirment que les Français croient qu’ils vivent plus mal mais que ce n’est que du ressenti. »

Pour eux, « l’essence peut enflammer le chiffon rouge de la colère citoyenne et transformer la fronde initiale en véritable acte de rébellion contre la politique globale du président des riches. À ce stade, nous en serons. » Mais pas avant, donc.

Th.A