Publié il y a 9 ans - Mise à jour le 17.10.2014 - baptiste-manzinali - 1 min  - vu 229 fois

NÎMES OLYMPIQUE L'ancien entraineur Noël Tosi devrait 70 000 euros au club

Fresque de 27 mètres de long qui retrace l'histoire du Nîmes Olympique au Stades des Costières. (photo d'archives)

Alors que Noël Tosi aurait assigné son ancien club devant le tribunal des prud'hommes, l'affaire se serait retourné contre lui. Selon nos informations, la cours d'appel le condamnerai à reverser 69 904, 76 euros au club.

Alors qu'il assurait le poste d'entraineur intérim de l'équipe première - suite à la mise à pied de Michel Cavalli - Noël Tosi avait finalement été démis de ses fonctions en mars 2011, après seulement quelques mois mois d'activité et cinq défaite consécutives. Dès le mois d'octobre suivant, l'ancien entraineur aurait assigné le club devant un tribunal des prud'hommes qui lui aurait donné raison dans un premier temps, condamnant Nîmes Olympique a verser la somme de 103 875 euros au titre de l'indemnité compensatrice de salaires perdus, 10 387 euros au titre des congés payés afférents et 5 000 euros à titre de dommages-intérêts pour rupture abusive du contrat. Nîmes Olympique aurait par la suite fait appel demandant la condamnation de l'entraineur au remboursement de la somme de 69 904,76 euros versées au titre de l'exécution provisoire. Le motif d'un protocole signé par les deux parties  mais non validé par la LFP (Ligue de Football Professionnel) pour un prolongement sur la saison 2011/2012 aurait été avancé. Selon le site footballmercato.net,"la Cour d'appel de Nîmes a donc tranché par un arrêt du 7 octobre 2014 donnant finalement raison au Club de Nîmes Olympique. Les juges ont considéré qu’aucune rupture abusive n’est imputable à NÎMES OLYMPIQUE, qui aurait respecté l'obligation résultant de son engagement contractuel de renouvellement."

Baptiste Manzinali

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