Publié il y a 1 an - Mise à jour le 26.10.2023 - Thierry Allard - 1 min  - vu 1224 fois

UZÈS Plus d’un million d’euros pour refaire trois rues du quartier Charles-Gide

La rue du Collège et deux autres rues du quartier Charles-Gide ont été inaugurées ce mercredi soir à Uzès par les élus et riverains du quartier

- Photo : Thierry Allard

Toutes neuves en surface et en sous-sol : le quartier autour du lycée Charles-Gide a vu trois de ses rues entièrement requalifiées par la mairie dernièrement. Elles étaient inaugurées ce mercredi soir en présence des élus et de riverains.

C’est désormais la norme, et cela évite d’éventrer des rues en bon état : les rues de la Perrine, des Maçons et du Collège ont vu leurs réseaux humides (eau potable et assainissement) entièrement refaits avant leur voirie, et la rue Masbourguet a bénéficié d’un réseau d’eau potable tout neuf, le pluvial étant en bon état. Quant à la place Adolphe-Bosc, elle a bénéficié d’un coup de neuf aussi.

Pour ce faire, « en deux ans, la commune a consacré 1,142 million d’euros de budget » à ces travaux, précise le maire Jean-Luc Chapon. Elle a été aidée par l’Agence de l’eau et le Conseil départemental, qui ont financé à hauteur de 70 % des dépenses éligibles les travaux sur les réseaux d’eau potable et d’assainissement, soit 419 000 euros sur l’eau potable et 65 000 euros sur l’assainissement.

De quoi aussi « requalifier cette voirie située dans le Secteur patrimonial remarquable (le secteur sauvegardé, NDLR) », poursuit le maire, avant d’ajouter que, s’agissant de la rue du Collège, « il s’agit d’un cheminement extrêmement emprunté par les 1 300 élèves du lycée Charles-Gide. » Donc ces travaux ont aussi eu pour but « de sécuriser les trottoirs en les élargissant », note Jean-Luc Chapon. Cette rue stratégique a bénéficié à elle seule de la moitié du montant total des travaux, avec 586 000 euros.

Ces travaux ont été « conçus avec les habitants », se félicite le président du comité de quartier Charles-Gide, Marc Raffier, à partir d’un projet élaboré par ledit comité « repris à près de 100 % », affirme-t-il.

Thierry Allard

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