Publié il y a 2 ans - Mise à jour le 21.10.2021 - anthony-maurin - 2 min  - vu 4264 fois

FAIT DU JOUR Si un acte terroriste se produisait en gare de Nîmes...

(Photo Anthony Maurin). - Anthony MAURIN

Dans dix minutes... (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Entre 21h et 4h, la gare de Nîmes-centre a connu la nuit dernière une drôle d'opération concernant la sécurité civile qui a mobilisé près de 500 personnes. Retour en images.

Tout débute par une séance de maquillage. Près de cent plastrons apposés à des supposés victimes font ainsi office de blessures plus ou moins graves. Pourquoi ? L'exercice est habituel, il a lieu chaque année et vise sensiblement le même genre d'attaque. Une attaque terroriste, une tuerie de masse dans un lieu fréquenté. Ici, la gare du centre-vile est une cible idéale. C'est là qu'aura lieu le drame. En tout, près de 500 personnes sont impliquées. Un lourd mais nécessaire dispositif.

Tout le monde est sur le pont. Le début de la manoeuvre est prévu après le dernier train du jour (22h17 mais il interviendra près d'une heure plus tard), le temps de laisser sortir tranquillement les passagers qui ne se doutent de rien mais qui sont surpris de voir frémir les lieux à une heure peu commune pour une telle ébullition. Personne ne doit être au courant de la teneur exacte de l'exercice pour que les toutes les forces en présence puissent voir si leur comportement est le bon. Surtout quand on parle de tactique et de coordination...

Un poste médical avancé (PMA) est tenu par le SAMU, le SDIS 30 et les associations de sécurité civile sont là pour la prise en charge des victimes, pour les trier et pour les évacuations terrestres. Le poste de commandement de site (PCS) est quant à lui tenu par le SDIS 30 et les forces de sécurité pour la conduite opérationnelle. Mais il y a aussi une cellule d’urgence médico-psychologique (CUMP) pour l’accueil des victimes non blessées (les impliqués) et l'indispensable centre opérationnel départemental (COD) de gestion de crise qui chapeaute l'événement.

On dispatche les protagonistes à maquiller (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Les premiers "figurants" prennent connaissance de leur "rôle" (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Le silicone est prêt... (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Les outils de maquillage aussi (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

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Fin du maquillage, direction la gare... (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Les policiers commencent à boucler le secteur de l'avenue Sergent Triaire (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Les forces de l'ordre se mettent en place et empêchent tout intrus d'entrer dans le futur périmètre sécurisé (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Les premières victimes qui ne le sont pas encore vont se mettre sur leur point de "surprise" (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

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On commence à sortir le matériel... (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Des blessés souffrent devant la gare mais l'attaque n'a pas encore eu lieu, une sorte de répétition générale (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

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Dans deux minutes le pire va se produire... (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Juste le temps de remettre un peu d'hémoglobine (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Du sang partout (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Le regard est fixé vers le lieu de la première attaque (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Des observateurs et des personnes de l'encadrement sont là pour regarder comment se déroule l'exercice (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Un terroriste entre dans la gare (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Les premiers policiers tentent une approche (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

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La progression est lente mais sécurisée (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

De l'autre côté, le reste de l'équipe veille (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Puis lance son assaut (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

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Des blessés au sol, des policiers en prise de décision (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Les blessés s'accumulent devant l'entrée (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Dans la gare (Photo Pref 30).

Certains sortent les bras en l'air (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

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Plus loin, d'autres policiers surveillent (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Les secours s'installent de manière précaire non loin de la gare, sous les arches avant de rejoindre l'hôpital de campagne situé à 100m (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Un terroriste a été abattu d'emblée (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Ici, une victime (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Dans la gare, les terroristes donnent du fil à retordre aux forces de l'ordre dans la gare (Photo Pref 30).

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Des policiers font un aller-retour, récupèrent quelques blessés qui peuvent marcher et repartent (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

L'hôpital de campagne est monté, les victimes et blessés peuvent aller se faire soigner (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

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En temps réel les pompiers suivent l'action (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Sur les quais, l'élite des force de l'ordre intervient et mettra fin à l'attaque vers 2h du matin (Photo Pref 30).

(Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

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Marie-Françoise Lecaillon organise une vraie-fausse conférence de presse (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Marie-Françoise Lecaillon (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Les équipes du SAMU viennent d'arriver et vont se mettre en position non loin de l'hôpital de campagne (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

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L'hôpital de campagne est situé au pied de l'hôtel du Département, face à la préfecture (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

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Dehors, les pompiers pensent à la suite (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

On se prépare à l'arrivée des premières victimes dans l'hôpital de campagne (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

(Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

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C'est parti, les premières ambulances arrivent (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Et avec elles les premières victimes (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Le ballet est quasi infini (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

L'hôpital se rempli (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Ailleurs, dans le restaurant administratif, une cellule psychologique est mise en place pour les victimes non blessées, mais choquées par l'événement (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

La Croix-Rouge s'installe et va préparer la collation... Et le café ! (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Les équipes sont prêtes à écouter les victimes (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Voilà... (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Une discussion (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

(Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Au centre opérationnel départemental de gestion de crise, toutes les autorités suivent les faits en temps réels et coordonnent l'ensemble des troupes (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

De dos, directrice de cabinet et préfète tiennent leur rôle (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Marie-Françoise Lecaillon, préfète du Gard, donne ses consignes (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Avec sa directrice de cabinet, Iulia Suc, le duo fonctionne (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Les faits, la situation et le bilan (Photo Anthony Maurin). • Anthony MAURIN

Anthony Maurin

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