Publié il y a 5 ans - Mise à jour le 08.06.2018 - tony-duret - 2 min  - vu 744 fois

ALÈS Trois astuces pour se passer d'un sous-préfet tout en gardant le sourire

Sous-préfecture d'Alès. EL/OG

"On vous regrettera". Ces mots du maire d'Alès, Max Roustan, à propos du dernier sous-préfet en disent long sur l'absence et la sensation de manque provoquées par le départ du représentant de l'État. Toujours soucieux du bien-être de ses lecteurs, Objectif Gard vous propose trois astuces pour essayer de survivre en attendant le prochain...

"Un seul sous-préfet vous manque et tout est dépeuplé". Cette citation bien connue qui emprunte à Lamartine résume parfaitement le sentiment de trouble ressenti par les alésiens depuis plus de deux mois. En l'absence de sous-préfet, on le voit, rien ne va plus à Alès... On ne va pas se mentir, la feria n'avait pas le même goût que les années précédentes, on ne s'attarde même plus aux cérémonies officielles et le climat, lui, devient complètement fou... Seulement, la vie continue. Allez amis Alésiens, relevez la tête, soyez forts et, en attendant des jours meilleurs, appliquez nos trois conseils.

1) Faites comme s'il était toujours là !

C'est certainement la technique la plus efficace. Pour mieux supporter l'absence, il faut faire comme si de rien n'était. Concrètement, visualisez votre sous-préfet préféré (Olivier Delcayrou, François Ambroggiani, Christophe Marx...) et agissez comme au bon vieux temps. Écrivez-lui...comme avant ! Et ne vous inquiétez pas, votre courrier restera sans réponse...comme avant.

2) Faites comme avant : faites sans lui !

Ne changez pas vos habitudes. Après tout, ça fait des années que vous vous débrouillez très bien sans sous-préfet, donc continuez ! Quant à ceux qui viennent d'apprendre à l'instant, en lisant cet article, qu'il existe une sous-préfecture à Alès, passez votre chemin.

3) Fuyez !

Si la vie sans sous-préfet est devenue insupportable, si vous n'en dormez plus la nuit, si vous ne pouvez plus retenir vos larmes aux abords de la sous-préfecture, c'est que votre cas est extrêmement préoccupant. N'attendez plus une seconde, faites vos valises dès ce soir et quittez la ville en attendant le prochain !

Tony Duret

Tony Duret

A la une

Voir Plus

A la une

Voir Plus

En direct

Voir Plus

Studio