Publié il y a 1 an - Mise à jour le 24.04.2022 - sacha-virga - 6 min  - vu 750 fois

SPÉCIAL ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE Suivez le direct écrit de l'émission "Bonsoir Le Gard"

La joie à La Grande Bourse après la victoire d'Emmanuel Macron (photo : Yannick Pons) - Yannick Pons

De gauche à droite, Jean-Christian Rey, Jérome Talon, Anthony Cellier et Jean-Yves Chapelet, élus du territoire LREM ravis du résultat (Marie Meunier / Objectif Gard)

23H04 : "Je pense que le PS et Les Républicains c'est terminé, tout va se jouer autour d'Emmanuel Macron", explique notre sociétaire Brahim Aber, notre sociétaire président de l'association Aventures nomades.

23H01 : "Félicitation au président de la République. Cela marque la fin du crédit accordé à Marine Le Pen", selon Jean-Baptiste Jouve, jeune Les Républicains, qui estime que les candidatures Le Pen, après huit défaites, doivent se terminer.

22H54 : "À force de faire des mesures malheureuses, on rend les gens malheureux. Il y a quelque chose de nouveau à créer, et c'est pour ça que la Gauche doit s'unir", explique le communiste Denis Lanoy. Olivier Lange lui répond en disant que la Gauche était déjà en partie au pouvoir avec le mandat d'Emmanuel Macron. "La politique est faite de compromis parce que personne ne possède la vérité absolue", ajoute-t-il.

22H50 : "Emmanuel Macron a encore de nombreux chantiers notamment au centre, notre victoire ne doit pas avoir de triomphalisme", déclare Olivier Lange, délégué départemental de Territoires de progrès.

Max Roustan découvre en direct les résultats synonymes de réélection d'Emmanuel Macron. (Photo Corentin Migoule)

22H46 : "Il manque de politique publique claire de la part d'Emmanuel Macron. Il faut que nous arrivions à faire entendre qu'il y a des réalités sur notre territoire", s'exprime Denis Lanoy du Parti Communiste.

22H37 : "De nouveau, Emmanuel Macron est élu avec l'aide d'une certaine partie de la population. Les jeunes par exemple se sont très peu manifestés", explique Emmanuel Chansou.

22H32 : Emmanuel Chansou, secrétaire fédéral du Parti Radical de Gauche affirme que "ce soir c'est la victoire de la France républicaine, c'est un grave échec de La République en Marche, sur la troisième circonscription, ce sont les élus LREM qui sont responsables de cette montée de l'extrême-Droite".

22H29 : "Il y a des leçons à tirer de ces résultats", explique Katy Guyot, première adjointe PS à la mairie de Vauvert.

22H23 : "C'est une victoire honorable mais qu'il faut voir avec humilité", témoigne Anthony Cellier, député LREM de la troisième circonscription du Gard.

22H21 : "Je crois que le challenge est à venir, rien n'est encore joué, je vais appeler au plus large rassemblement pour gagner la quatrième circonscription", affirme Philippe Ribot, potentiel candidat LREM sur cette circonscription.

22H09 : "Je tiens à saluer la victoire d'Emmanuel Macron", s'exprime François Courdil, adjoint au maire de Nîmes. Il évoque qu'il n'y aura pas de troisième tour mais une élection de territoire, ajoutant qu'il est temps d'avoir des élus ancrés dans le Gard.

22H03 : Léa Boyer, conseillère départementale explique son positionnement concernant l'élection législative : "Je vais continuer à représenter Les Républicains, les gens veulent des personnes qui expriment leurs idées. Les Républicains ne sont pas morts, ils ont besoin d'un vrai leader".

21H57 : Julien Devèze notre sociétaire, pose la question de la scission des Républicains, entre ceux qui sont proches de la droite dure et ceux qui pourraient se rapprocher de la République en Marche.

21H52 : "Les résultats montrent que la France souffre et que les cinq prochaines années vont être capitales", s'exprime Franck Proust, expliquant aussi que les chiffres réalisés par les Républicains lors de cette élection ne reflètent pas du tout la réalité.

Yoann Gillet, satisfait de la progression de Marine Le Pen, malgré la défaite (photo : Stéphanie Marin)

21H27 : "Cela fait trois ans que je ne suis plus sous l'étiquette LR, j'étais favorable aux idées de Nicolas Sarkozy en 2007, qui était plus dans le social, c'est quelque chose qui s'est perdu dans le parti aujourd'hui", détaille Nicolas Balmelle, ancien directeur de cabinet du maire de Nîmes Jean-Paul Fournier.

21H22 : Frédéric Touzellier, maire de Générac, explique que la reconstruction sera très large. Concernant sa candidature sur la deuxième circonscription du Gard pour l'élection législative, malgré le score bas de Valérie Pécresse, il estime "qu'il faut y aller à fond".

21H19 : "Je pense que le pouvoir en place et la politique a grandement contribué à la montée de l'extrême-droite", explique Nicolas Pellegrini à Philippe Berta.

21H16 : "Arriver à avoir des résultats pareil avec de nombreuses crises comme les Gilets Jaunes, le Covid... moi je dis chapeau l'artiste", affirme Philippe Berta, détaillant toute la brillance qu'il pense d'Emmanuel Macron.

21H11 : "Il y a eu une énorme colère des Français lors de l'entre-deux-tours, parce que beaucoup n'adhéraient pas à ces deux programmes complètement opposés", explique Nicolas Pellegrini, co-chef de file LFI de la sixième circonscription du Gard.

21H09 : "Je suis rassuré parce qu'on ne s'attendait pas à autant d'écart. La nature même de Marine Le Pen l'a fait perdre, elle a perdu son image de "mamie avec ses chats" lors de l'entre-deux-tours.", explique Philippe Berta, député MoDem de la sixième circonscription du Gard.

21H04 : "Je suis très content que les Français aient fait le bon choix, on annonçait le RN assez haut, il n'est qu'à 42% même si pour moi c'est déjà trop haut", affirme Juan Martinez, le maire de Bellegarde ajoutant "qu"il ne faut pas que la France d'en-haut oublie la France d'en-bas".

21H01 : "Aujourd'hui on est dans une situation nouvelle, nous sommes focalisés sur les élections législatives", explique Charles Ménard, partisan de La France Insoumise.

20H58 : "La misère cela fait longtemps qu'elle franchit les portes des étudiants, des retraités... il faut casser les portes et les reconstruire", explique Olivier Jalaguier, faisant référence à l'inquiétude de Valérie Rouverand concernant l'extrème-droite.

20H55 : "En tant que socialiste et au niveau de la Gauche on doit se remettre en question", explique Nicolas Ferrière.

20H50 : "Evidemment qu'il y a des gens qui ne sont pas d'accord, mais on n'a pas non plus laissé de côté tout le monde au bord de la route", explique Jérome Talon, co-référent LREM dans le Gard, très énervé après les propos d'Olivier Jalaguier.

20H48 : "La République en Marche est un parti hors sol qui n'a pas d'encrage dans le territoire, qui n'est pas présent et qui n'a pas d'élus", continue Olivier Jalaguier. "C'est la victoire d'Emmanuel Macron et pas celle de la République en Marche" enchaîne-t-il.

20H46 : "Félicitation au président de la République mais il doit tirer les conclusions de ces résultats", continue Nicolas Ferrière notre sociétaire, qui partage le point de vue d'Olivier Jalaguier.

20H44 : "En quoi le programme de Marine Le Pen n'est pas conforme ? Nicolas Cadène est un menteur", fustige Olivier Jalaguier, notre sociétaire.

20H38 : "Ce score est tout à fait honorable, je suis optimiste pour la suite, on progresse, la prochaine fois on sera au-dessus des 50%, il faut laisser au temps le temps", explique Francis Bassier, élu RN d'opposition à la ville d'Alès au micro de notre journaliste Corentin Migoule.

20H36 : Notre journaliste Corentin Corger a relayé les propos de Jean-Luc Mélenchon par rapport à la victoire d'Emmanuel Macron : "Il est le président le plus mal élu de l'histoire de la cinquième République".

20H34 : "Il faut savoir perdre", rajoute Laurent Burgoa, après les propos de Valérie Rouverand.

20H31 : "Je ne peux pas vous laisser dire que les médias ont favorisé la réélection d'Emmanuel Macron", explique avec véhémence Valérie Rouverand à Yoann Gillet.

20H30 : Yoann Gillet, au micro de Stéphanie Marin préfère saluer le score de Marine Le Pen malgré la défaite : "On a gagné trois millions de voix en plus par rapport à 2017, c'est un score historique pour le RN. Le combat continue aux Législatives pour qu'Emmanuel Macron ne puisse pas faire passer ses mesures nocives.", Le directeur de cabinet du maire de Beaucaire explique que les médias sont responsables de la réélection d'Emmanuel Macron.

Les militants du Parti Reconquête ce dimanche soir (photo : Yannick Pons) • Yannick Pons

20H27 : "Il y a des aménagements qui ont fait que je ne me retrouvais plus dans les idées de Marine Le Pen", affirme Gilbert Collard.

20H24 : "Même si j'ai rejoint Eric Zemmour, j'aurais préféré que Marine Le Pen soit présidente", explique Gilbert Collard, amer face au résultat de ce second tour. Le député européen réfléchit d'ailleurs à se présenter pour les élections législatives sur la deuxième circonscription selon ses propos à notre journaliste Boris de la Cruz.

20H19 : Valérie Rouverand, co-référente LREM dans le Gard explique que ce deuxième tour a découragé des gens d'aller voter parce qu'il n'y avait pas leur candidat.

20h17 : "On peut être rassuré mais il y a un gros travail à faire", explique Nicolas Cadène, vis-à-vis du résultat d'Emmanuel Macron face à Marine Le Pen.

20H13 : "Qu'on aime ou pas Jean-Luc Mélenchon, il a un programme différent de celui de Marine Le Pen", explique Nicolas Cadène, notre sociétaire, à Laurent Burgoa, qui rejette ces deux candidats.

20H07 : Notre invité Laurent Burgoa, sénateur Les Républicains du Gard nous fait part de sa satisfaction suite à la défaite de Marine Le Pen lors du second tour de l'élection présidentielle. Il pense que le score gardois de Marine Le Pen est en partie dû à un report des voix de Jean-Luc Mélenchon, qu'il qualifie de "populiste" et d'égal à la candidate Rassemblement National.

Sacha Virga

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