Publié il y a 1 h - Mise à jour le 01.09.2025 - NJ - 2 min  - vu 76 fois

NÎMES La ville fait le point sur sa politique éducative

Jean-Marc Campello, Franck Proust, Christophe Mauny (DASEN du Gard), Jean-Paul Fournier et Véronique Gardeur-Bancel, ce lundi dans l’école Jean-D ’Ormesson.

- Photo : Norman Jardin.

En ce jour de rentrée, la municipalité a évoqué la politique de la ville en d’Éducation, lors d’une conférence de presse qui s’est déroulée dans le hall de l’école Jean-d'Ormesson, dans le quartier du Mas de Mingue.

Ce lundi 1er septembre est un jour bien très particulier pour de nombreux écoliers. C’est le début d’une nouvelle année scolaire, d'une nouvelle aventure. À Nîmes, ils sont 11 800 répartis dans 83 écoles et 613 classes. Pour la municipalité, c’était, en quelque sorte, la rentrée et cela, à un peu plus de six mois du premier tour des élections municipales. Ce matin, dans le bruyant hall de l’école Jean D'Ormesson, elle avait invité la presse pour évoquer sa politique dans le domaine de l’Éducation. Jean-Paul Fournier, le maire de Nîmes, a rappelé que la ville a alloué « Un budget de 4,1 millions d’euros annuel à l’Éducation ».

822 agents de la ville (dont 379 titulaires)

Mais l’école, c'est aussi 822 agents de la ville (dont 379 titulaires) et 3,63 millions d’euros d’investissement dans les travaux en 2025 (dont 1 million dans la rénovation énergétique). Il y a aussi 6 000 repas par jour servis dans les 54 restaurants scolaires de la ville et 1 million d'euros d’achats annuels de produits issus de la filière agricole gardoise. La ville de Nîmes explique avoir structuré sa politique éducative sur trois axes : « La simplification des démarches administratives pour les familles, un engagement renforcé en faveur de la qualité et de la sécurisation des établissements scolaires ».

« La ville fera de la tolérance zéro. Il n’y a pas d’apprentissage sans respect »

La municipalité a ensuite fait part de ses projets comme la mise en valeur de l’outil « Langage », le concours d’éloquence des ALAé, le déploiement des outils numériques au service des apprentissages solaires et le développement langagier en partenariat avec la préfecture et la direction académique. « La santé mentale est un enjeu de demain » abonde Véronique Gardeur Bancel. L’adjointe déléguée à l’Éducation et à la Petite Enfance s’est également exprimée au sujet de la sécurité dans et autour des établissements ; « La ville fera de la tolérance zéro. Il n’y a pas d’apprentissage sans respect ».

Une école Claudie Haigneré à Pissevin

Toutes les classes (des écoles publiques nîmoises) sont équipées d'un bouton d'alerte attentat / intrusion relié directement au centre d'appel de la police. Le partenariat avec la Préfecture, la DSDEN et les forces de l'ordre (Police nationale et Police municipale) est aussi maintenu pour intervenir en cas de présence suspecte à proximité des écoles ou d'incident. Enfin, la ville de Nîmes a également annoncé que la future école qui sera construite dans le quartier de Pissevin, porterait le nom de Claudie Haigneré, la spationaute française.

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