Publié il y a 11 ans - Mise à jour le 21.04.2013 - coralie-mollaret - 1 min  - vu 589 fois

ESCRIME. Trois questions à l'épéiste nîmois Fulcran Fezard

Fulcran Fezard. DR

A 36 ans, le Nîmois Fulcran Faisard peut s'enorgueillir de ses 27 années de pratique de l'escrime ! Plusieurs fois champion de France, cette pointe de l'épée nîmoise, membre de la SEN (société s’escrime de Nîmes) privilégie aujourd'hui sa vie de famille. 

Objectifgard : Comment en êtes-vous arrivé là ? 

Fulcran Fezard: J'ai commencé l'escrime, parce que mes trois frères en faisaient. Je n'étais pas très sportif et durant trois ans, j'ai pratiqué à contre-coeur. Et puis je suis arrivé au stade des costières où j'ai rencontré le maître Parizel. Cette rencontre a été pour moi un vrai déclic. Ce que j'aime dans ce sport, c'est l'adrénaline. Tout peut se jouer en une seconde. Il faut avoir de l'énergie et un fort mental.

O.G : quels sont vos sources d'inspiration ? Les gens que vous admirez dans le monde de l'Escrime ? 

F.F : Il y a bien sûr le Français Éric Srecki, double champion olympique en 1988 et trois fois champion du monde. Mais aussi Olivier Lenglet. Plus proches de moi, je tiens à remercier mes maîtres d'armes Eric Parizel et Hervé Jorgi. Sans eux, je n'en serais pas arrivé là.

O.G : Quelles sont vos ambitions aujourd'hui ? 

F.F : Je suis en fin de carrière. Avec ma vie de famille, mon travail, je ne peux que m'entrainer une fois par semaine. On va dire qu'aujourd'hui, je joue beaucoup sur l'expérience, c'est un atout lorsque l'on est un peu plus vieux… (Rires).

C.M

coralie.mollaret@objectifgard.com

Coralie Mollaret

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