Objectif Gard : C'est la première fois que vous participez au Nîmes Urban Trail ? 

Samy : Non, moi c'est ma troisième édition. J'habite à Montpellier, mais je suis originaire de Nîmes vous savez... (sourire) Ça me permet de découvrir ou redécouvrir ma ville. Même si cette année le parcours était plutôt en garrigue qu'en ville. Nous n'avons pas traversé les Arènes ou passé devant la Maison Carrée. C'est un peu dommage.

Mickaël : Moi c'est la première fois ! C'est une ambiance populaire, conviviale et familiale. En plus, il fait beau !

Sur quel parcours vous êtes-vous alignés et quel temps avez-vous réalisé ? 

Mickaël : On courait le 23 km et on l'a terminé en 1h47 tous les deux. Moi, ça fait un an que je me suis mis à la course. J'en fais une par mois à peu près. Depuis un an, j'ai perdu 14 kg. C'est devenu une passion, un mode de vie. Cette discipline permet de mieux se connaître, de se dépasser.

Samy : Quand je pense qu'il y a 10 ans, j'étais raide complet après la feria et je fumais un paquet de cigarettes par jour ! (...) Le parcours était intéressant : après des montées difficiles, on retrouvait des descentes. Ça permet de faire redescendre la fréquence cardiaque.

Quelles améliorations faudrait-il apporter au Nîmes Urban Trail ? 

Samy : Peut-être des douches... Là, si on veut aller au restaurant, c'est compliqué. On sent mauvais...

Mickaël : Moi, je dirai les indications. En fin de parcours il manquait quelques panneaux. J'aurai aussi plus aimé que le parcours se fasse en ville. Sinon à part ça, c'est une belle course. On reviendra.

Propos recueillis par Coralie Mollaret

coralie.mollaret@objectifgard.com