INSOLITE Les Nîmois "ploucs" et "ringards" pour le Youtubeur Mohamed Henni
Si vous êtes branché réseaux sociaux, vous avez sûrement entendu parler de Mohamed Henni. Ce jeune Marseillais devenu célèbre pour ses debriefs vidéos des rencontres de l'Olympique de Marseille où il fracasse de nombreuses télés. Umut Bozok, l'attaquant du Nîmes Olympique, a d'ailleurs participé à ce défouloir médiatique après le match entre Marseille et Nîmes.
Sur Youtube, Mohamed Henni dépasse les 1,3 millions d'abonnés. Il cartonne également sur Twitter et Snapchat. C'est d'ailleurs sur ce support qu'il s'est moqué de Nîmes et de ses habitants. Habitué dans ses différents voyages à prendre à partie certaines communes, notamment Saint-Étienne, le Marseillais était sans doute de passage à la Feria. Le séjour ne lui a apparemment pas plu : "La Feria de Nîmes, elle est pourrie. Il n'y a pas de taureaux, c'est des petites vachettes", a-t-il commenté.
La vidéo commence fort en définissant Nîmes comme une ville ennuyeuse : "Il y a plein de gens qui se plaignent des trucs du quotidien : je ne vais pas avoir le bac, je n'ai pas de sous... Pensez aux gens qui habitent à Nîmes, c'est ça le pire !" La "star" des réseaux pointe du doigt le manque d'activités dans la cité gardoise. "Il n'y a rien. Il y a trois chichas à Nîmes dont une qui sert de mairie", poursuit-il.
Une mauvaise carte postale qu'il conclut méchamment en traitant les nîmois de "ploucs" et de "ringards". On espère évidemment qu'il s'agit encore et simplement d'une petite moquerie dont Mohammed Henni a l'habitude. Et pour paraphraser la devise de l'ordre de la Jarretière, le plus important ordre de la chevalerie britannique, "Henni soit qui mal y pense" !
La vidéo en question :
A la une
Voir PlusPolitique
EXPRESSO Vers un retour progressif d’Orange à Pissevin
Nîmes Olympique
L’INTERVIEW Sébastien Larcier (Nîmes Olympique) : « J’ai une liste d’entraîneurs et, tous les jours, je reçois des CV »
Actualités
FAIT DU JOUR Les sœurs Aleksïïva : le rêve olympique pour oublier la guerre
Politique
ÉDITORIAL À Nîmes, la méthode Rouverand
Alès-Cévennes